Comment puis-je cultiver une compassion dans mes pensées et mes jugements avant même d’agir physiquement pour aider ?
- Que se passerait-il si tes pensées devenaient aussi bienveillantes que tes actions ?
- Peux-tu observer tes jugements sans t’y accrocher ?
- Que dis-tu de toi-même quand tu juges les autres ?
- Es-tu prêt à aider mentalement avant d’intervenir physiquement ?
- Quelle qualité donnerais-tu à tes pensées si elles devaient toucher quelqu’un ?
- Que change en toi l’idée de juger avec compassion ?
- Ta bienveillance commence-t-elle vraiment dans tes actions ou dans ton esprit ?
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Quand je ressens le besoin d’aider, est-ce par réelle compassion ou pour apaiser mon propre inconfort ?
- Que cherches-tu vraiment à soulager : leur souffrance ou ton malaise ?
- Es-tu capable de rester présent sans intervenir ?
- Que ressens-tu si tu n’interviens pas tout de suite ?
- Ta compassion existe-t-elle aussi quand tu n’agis pas ?
- Qui as-tu besoin de rassurer en aidant, eux ou toi ?
- Peux-tu offrir ton soutien sans attendre de soulagement pour toi-même ?
- Et si ta vraie aide était simplement d’être là, sans rien faire ?
Si chaque personne est un reflet de ma propre humanité, comment cela affecte-t-il ma manière d’aider ?
- Que reconnais-tu en toi quand tu vois leurs luttes ?
- Es-tu prêt à aider en sachant que leurs faiblesses pourraient être les tiennes ?
- Comment changerait ton aide si tu voyais en eux un reflet de toi-même ?
- En quoi leurs besoins te rappellent-ils les tiens ?
- Peux-tu accepter leur humanité comme un miroir de la tienne ?
- Comment réagirais-tu si tu aidais comme tu aimerais être aidé ?
- Que dit ta façon d’aider sur ta propre relation à la compassion ?
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Est-ce que je suis prêt à faire de la compassion un état de présence permanent, au-delà des moments d’aide ponctuels ?
- Que resterait-il de toi si la compassion devenait ton état naturel ?
- Es-tu prêt à être bienveillant même quand personne ne regarde ?
- Ta compassion dépend-elle encore des circonstances ?
- Que cherches-tu à limiter en la gardant pour les moments d’aide ?
- Qui serais-tu si ta bienveillance imprégnait chaque instant ?
- Peux-tu t’engager à être présent dans ta compassion, même sans raison immédiate ? Que changerait en toi de ne plus “faire” de la compassion, mais de “l’être” ?
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