Description
(prononcé : ee-ya-ree-nya)
Issu du quechua “Illariy” : lumière de l’aube, éclat du matin, illumination intérieure.
Porte la vibration de la révélation douce, de la confiance retrouvée, de la clarté après la nuit.Illariña apaise les esprits tourmentés, dissipe les brumes mentales, et rappelle au cœur ce qu’il savait déjà.
Elle protège les êtres sensibles de la confusion, et ouvre la voie du discernement sacré.
On l’invoque quand on veut retrouver l’intuition pure, la vision claire, et le calme dans la tempête émotionnelle.
Issu du quechua “Illariy” : lumière de l’aube, éclat du matin, illumination intérieure.
Porte la vibration de la révélation douce, de la confiance retrouvée, de la clarté après la nuit.Illariña apaise les esprits tourmentés, dissipe les brumes mentales, et rappelle au cœur ce qu’il savait déjà.
Elle protège les êtres sensibles de la confusion, et ouvre la voie du discernement sacré.
On l’invoque quand on veut retrouver l’intuition pure, la vision claire, et le calme dans la tempête émotionnelle.
Illariña appartient au peuple Q’ero, gardienne des brumes hautes des Andes.
On dit que ses yeux voient au-delà du visible,
que son silence parle mieux que mille vérités,
et que son visage apparaît à ceux qui cherchent sans savoir ce qu’ils cherchent.
Sa présence est une brise,
une caresse de lumière sur les parts sombres.
Elle rappelle ce que l’âme a oublié.
Quand l’esprit s’embrouille,
quand le cœur s’agite,
elle revient comme l’aube.
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