Si je devais vivre comme un être déjà “complet”, qu’est-ce qui me semblerait superflu dans ma quête de toujours “plus” ?
- Qu’essaies-tu encore de prouver, et à qui ?
- Que cherches-tu à remplir, alors que tu pourrais juste être ?
- Qui es-tu sans toutes ces choses que tu accumules ?
- À quoi t’accroches-tu, pensant qu’il te manque quelque chose ?
- Qu’est-ce que tu poursuis, mais qui ne t’apporte rien de plus ?
- Combien de tes désirs viennent de toi, et combien viennent d’ailleurs ?
- Que pourrais-tu lâcher, en sachant que tu as déjà tout en toi ?
Est-ce que je suis prêt à laisser chaque jour être comme une petite mort de ce que j’étais hier, pour renaître à quelque chose de nouveau ?
- Qu’es-tu prêt à laisser derrière toi aujourd’hui ; là, tout de suite ?
- Quelle version de toi-même peux-tu abandonner pour avancer ?
- Qu’est-ce qui pourrait mourir en toi pour faire place au neuf ?
- Que perds-tu à te libérer de tes habitudes d’hier ?
- À quoi pourrais-tu renoncer pour vivre plus intensément aujourd’hui ?
- Quelles certitudes lâcherais-tu, pour t’ouvrir à l’inconnu ?
- Si aujourd’hui était une page blanche, que choisirais-tu d’y inscrire ?
Comment puis-je exprimer mon amour et ma gratitude aujourd’hui, sans attendre que le moment soit « parfait » ?
- Qui aimerais-tu remercier, là, tout de suite ?
- Quelle parole gardes-tu en réserve, en attendant « le bon moment » ?
- Qui pourrait sentir ton amour sans une grande déclaration ?
- Qu’est-ce qui t’empêche de montrer ta reconnaissance ici et maintenant ?
- Que peux-tu offrir aujourd’hui, sans attendre d’avoir plus ?
- Quelle simplicité te suffirait pour dire merci, sans en faire trop ?
- Et si tu n’avais qu’aujourd’hui, comment aimerais-tu exprimer ce que tu ressens ?
Dans quels domaines de ma vie est-ce que je fais comme si les choses ou les gens allaient durer pour toujours ?
- Qui présumes-tu toujours être là, sans jamais en douter ?
- Que négliges-tu, pensant que tu pourras toujours t’y consacrer plus tard ?
- Quelles relations tiens-tu pour acquises, comme si elles étaient immuables ?
- Quelle part de toi-même mets-tu en attente, en pensant avoir le temps ?
- Quels moments manques-tu, en croyant qu’ils se répéteront sans fin ?
- Que repousses-tu, certain que rien ne changera jamais ?
- Quels liens pourraient s’effilocher, sans que tu t’en aperçoives ?
Suis-je prêt à voir la mort non comme une fin, mais comme une transition naturelle, et comment ça change ma perception de la vie ?
- Que changerait-il si tu voyais chaque départ comme un nouveau départ ?
- Qu’est-ce qui te fait encore craindre une fin, plutôt que l’inconnu ?
- Qu’est-ce que tu pourrais accueillir davantage en acceptant l’impermanence ?
- Qui serais-tu si tu voyais chaque instant comme une partie d’un cycle ?
- Si la vie était une série de transitions, qu’est-ce que tu vivrais différemment ?
- Que pourrais-tu lâcher, en te voyant comme passager d’un voyage sans fin ?
- Quelle intensité mettrais-tu dans chaque moment, en l’acceptant tel qu’il est ?