Est-ce que je suis capable de savourer l’union avec la Source lorsque je ressens sa présence ?
- Quand tu ressens la présence, que fais-tu ensuite ?
- Peux-tu savourer sans analyser ?
- Pourquoi chercher plus quand tu es déjà là ?
- Et si “être” suffisait, sans besoin d’ajouter quoi que ce soit ?
- Es-tu vraiment présent, ou bien distrait par l’envie de comprendre ?
- Que se passe-t-il si tu lâches toute attente dans cet instant ?
- Laisses-tu la Source te remplir, ou veux-tu garder le contrôle ?
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En me rappelant chaque jour que je suis une expression unique de la Source, comment cela influencerait-il mon amour-propre et ma confiance ?
- Peux-tu douter de toi en voyant la Source en toi ?
- Que changerait l’idée que tu es ici pour une raison ?
- À quoi ressemblerait l’amour-propre sans jugement ?
- Pourquoi te comparer quand tu es déjà unique ?
- Et si ta valeur n’avait rien à prouver ?
- Peux-tu voir ta confiance comme un reflet de la Source ?
- Comment traiterais-tu cette “expression unique” si elle était quelqu’un d’autre ?
Quand je dépasse les concepts et les croyances, que reste-t-il de moi, qui soit une pure expression de la Source ?
- Qui es-tu sans les étiquettes ?
- Que reste-t-il quand tu lâches tout contrôle ?
- Peux-tu exister sans tes histoires ?
- Sans croyances, d’où vient ton sentiment d’être ?
- Et si la vraie réponse était dans le silence ?
- Que découvre-t-on en toi, une fois le “moi” dissipé ?
- Peux-tu simplement être, sans avoir besoin d’exister ?
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Quand je ressens la présence de la Source en moi, est-ce que je perçois cette présence comme illimitée, au-delà de tout ce que je peux imaginer ?
- Peux-tu vraiment contenir ce qui est infini ?
- Pourquoi vouloir définir ce qui te dépasse ?
- Et si chaque limite que tu perçois était une illusion ?
- Que reste-t-il de toi face à l’immensité ?
- As-tu déjà touché les frontières de cette présence ?
- La Source a-t-elle besoin de se restreindre pour être ?
- Es-tu prêt à abandonner toute mesure pour la ressentir pleinement ?
Si la Source est éternelle et intemporelle, est-ce que je suis prêt à voir ma propre essence comme étant en dehors du temps, comme une conscience qui n’a ni début ni fin ?
- Et si ta naissance n’était qu’un point de repère temporaire ?
- Peux-tu vraiment nommer un “début” à la conscience ?
- Qui es-tu sans l’horloge du temps ?
- Pourquoi chercher une fin si tu n’as jamais commencé ?
- La conscience a-t-elle besoin d’un âge pour exister ?
- Es-tu prêt à lâcher l’idée d’un “moi” qui passe ?
- Que devient la peur du temps si tu te sais intemporel ?