la pelote de laine : La liberté confisquée

4e de couverture

Si je reprends la plume, c’est que quelque chose de grave se profile. Nous sommes aux portes d’un basculement : jamais notre liberté n’a été si menacée. Le piège avance par glissement, dans les lois, les capteurs, les algorithmes, les agendas et les écrans. À l’œil nu, ce ne sont que des détails. En vérité, c’est une œuvre pointilliste qui se révèle, crise après crise.

J’ai relié ces points un à un, patiemment, avec 2 477 sources vérifiables, le long d’un fil qui tisse cette pelote blanche. Elle sert à prendre de la hauteur, à embrasser l’ensemble sans se perdre. Car comprendre l’ensemble, c’est déjà défaire le plus gros nœud. C’est l’étape clé pour trouver, au cœur de la pelote, le fil d’or : un chemin praticable pour sortir du piège et reprendre notre liberté.

La Pelote de laine est à mi-chemin entre un réquisitoire implacable, une enquête archi-documentée et un essai philosophique inspirant. Sa promesse est d’approcher la vérité brute en s’appuyant sur des références accessibles à tous. Car on n’agit bien qu’à partir de ce qui est vrai. Et cette vérité est enfin à ta portée. Le temps presse. Il est l’heure d’ouvrir les yeux.

Mon contrat éthique avec toi

Avant d’entrer dans la pelote et de tirer sur le premier fil, je te propose un pacte simple : toujours chercher la hauteur.

Ça veut dire quoi ?

Ce livre ne prône aucune violence. Chaque piste est pacifique et licite. En dépit de mon style un peu cash, et du ton parfois familier que j’emploi, j’écris avec sincérité et proportion. J’expose les faits d’abord, les hypothèses sont signalées comme telles, les opinions sont clairement distinguées. Là où il y a des preuves, je les montre. Là où réside un angle mort, je le nomme. Si une erreur se glisse, je la corrige (si possible).

Chaque affirmation dans le texte renvoie vers une source de premier choix vérifiable : une loi, un rapport public, une statistique officielle. En numérique, tu cliques sur le lien menant au document. En papier, un QR code en tête de chapitre ouvre « la copie numérique » permettant l’accès aux sources. Le même symbole qui, durant la crise sanitaire, a servi de sésame ambigu devient ici une simple porte pour la vérité : un accès direct aux pièces, rien de plus, rien de moins.

D’une manière générale, ma critique vise des idées, des dispositifs, des institutions — jamais réellement la personne en elle-même. La dignité humaine n’est pas négociable.

Je déclare mes biais : je suis un simple citoyen qui n’abrite aucun intérêt. Mon financement est indépendant, grâce à votre soutien, que ce soit en achetant mes livres ou via le formulaire de don disponibles sur mon site pour les contributions libres. Je ne suis rattaché à aucun parti politique, je n’adhère à aucun cercle hermétique, aucune société secrète.

Je souhaite offrir un électrochoc sans verser dans le catastrophisme. Je dis oui à l’espérance et non à la naïveté.

Tu restes souverain de ta lecture, tu as le droit au doute, au désaccord, à la réplique. Je t’invite à prendre le temps de lire mes sources, à cultiver le bon sens. Bien que je ne sois pas journaliste, ce pacte s’enracine dans la Charte de Munich[1].

C’est ce cadre que je choisis d’incarner, phrase après phrase. Je parlerai donc sans haine ni peur, avec la loi pour cadre et la vérité pour boussole. Tu liras avec l’esprit critique et le cœur ouvert la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.

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[1] Déclaration des devoirs et des droits des journalistes (1971) est une référence européenne qui énonce dix devoirs et cinq droits, adoptée par la profession et publiée par des instances reconnues.

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Tirer sur le fil blanc…

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