Devenir ingouvernable
Vous devez être le changement que vous voulez voir dans ce monde.
Gandhi
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Je prends la liberté de te tutoyer, mais sache que je m’englobe pleinement dans ce que je m’apprête à te livrer. Je ne m’exclue dans aucune des phrases qui vont suivre. Tu n’es pas différent de moi et je pèse mes mots quand je t’écris que nous sommes en tout point semblables.
Plutôt que de me lire, à cet instant précis, tu pourrais être n’importe où, sur le point de t’accomplir personnellement et d’atteindre un épanouissement inégalé. Tu pourrais être en train de te réaliser pleinement et de déborder d’amour en offrant au monde ta plus belle valeur ajoutée, pourtant tes yeux sont posés sur mes lignes. Pourquoi n’est-il pas possible de faire ce que tu aimes vraiment et d’aimer ce que tu fais à longueur de journée ?
La réponse est simple : chaque jour se ressemble, on se réveille à la même heure, généralement dans le même lit, pour suivre la même routine du matin au soir. Nos journées sont planifiées, contrôlées, avec un rendement à respecter, il n’y a pas vraiment de place pour ta liberté. D’ailleurs où se trouve ta liberté ?
Ta nourriture appartient à des multinationales qui enrichissent des fonds d’investissement privés comme BlackRock et Vanguard. La terre sur laquelle pousse tes aliments est possédée par ces mêmes structures, tout comme l’eau potable qui est essentiellement la propriété du système sur lequel ces entreprises règnent. Privé de nourriture, d’eau et de terre, tu ne peux pas survivre sans rapporter de l’argent directement ou indirectement à ces fonds d’investissement. Parce qu’il n’y a pas un fruit qui soit libre de droit dans les arbres, pas un mètre carré de terre qui ne soit à toi – à moins de l’avoir payé, pas une rivière dans laquelle tu pourrais boire sans tomber malade.
Coincé dans ce monde pyramidal, tu n’as pas d’autre choix que de te soumettre aux règles de la société, aux normes qu’on t’impose et aux lois qui limitent davantage cette minuscule marge de manœuvre que la matrice t’octroie. Pourquoi ?
Tu t’es forgé une perception de la vie à travers des représentations difformes et grotesques dans des manuels scolaires, devant des écrans ou en apprenant soigneusement ce que l’éducation nationale t’invite à avaler. En bon élève appliqué, tu répètes ce que tu as dû mémoriser sous la contrainte. Tu concèdes à te faire évaluer et noter sans même réaliser que tu avais seulement besoin d’être instruit et non dressé. Ce n’est pas de ta faute, ni celle de tes parents, vague après vague, chaque année, ce système scolaire produit une jeunesse « éduquée » dans le seul but de devenir toujours plus conformes aux attentes de l’élite.
Cette éducation passe par l’acceptation aveugle de consignes absurdes, la répétition d’enseignements décorrélés du réel, un zeste d’ambition politicienne et un soupçon d’idéologie au service de l’état. Tout ceci dans quel but ? Afin de produire des esprits « utiles », c’est-à-dire des citoyens privés de sens critique, désarmés pour faire la moindre différence. Des individus parfaitement égaux, lissés par la paresse, noyés dans une moyenne tiède. Car le système ne peut fonctionner qu’à partir d’un groupe homogène qui exécute sans penser par lui-même. La matrice est alimentée par une population de consommateurs obéissants, enclins à craindre la répression. La société se fonde sur un troupeau facile à mener et de moins en moins capable de trouver du sens dans ce qu’il fait ou même ce qu’il est.
C’est la raison pour laquelle notre rapport au travail, à l’argent, à la santé et aux autres nous échappe et nous fait souffrir. Nous faisons les choses parce que le système nous impose de les faire. En réalité, tout ce que nous accomplissons n’a que très peu de sens puisque nous n’avons pas appris correctement les bonnes choses.
Nous travaillons selon les modalités et les attentes de la société. Nous le faisons sans avoir réellement le temps ni les moyens de vivre cette vie pour laquelle nous nous tuons à la tâche. C’est ainsi qu’on s’use à produire toujours plus, jusqu’à ce qu’on soit trop vieux pour générer de la richesse dans le cadre imposé par le système. Et celui-ci nous mets sur la touche en attendant notre fin.
Jusqu’ici, nous n’avions que très peu conscience d’incarner la ressource principale des élites se fichant éperdument de nos existences à l’échelle individuelle. On travaille de nuit pour eux. On s’éloigne de nos familles pour eux. On s’entredéchire pour eux. On ne dort plus pour eux. On en tombe malade pour eux. On fait même des guerres pour eux. Dans la peau des marionnettistes qui dirigent le monde, tout en haut de cette pyramide du pouvoir, notre bien-être n’a aucune espèce d’importance. Notre bonheur ne compte pas, si ce n’est lorsque celui-ci impacte notre temps passé à produire leur propre richesse, celle-là même qui renforce le contrôle exercé sur nous.
En conséquence, notre relation à l’argent souffre aussi du prisme « éducatif » qui nous a volontairement caché le sens profond de nos actions et de nos choix. Par mimétisme, on est conditionné à accumuler. Sans réellement réfléchir, nous adoptons sensiblement les mêmes modes de vie et les postures financières occidentales qui nous poussent à juger un individu à la valeur de son train de vie. Nous avons tous un écran plat, des tablettes, une box internet et des ribambelles d’objets connectés en Bluetooth. Nous suivons tous un modèle qui ne nous appartient pas, mais qui nous invite très fortement à posséder une maison, une voiture, un chien, une piscine pour étoffer le catalogue de nos réussites professionnelles afin qu’on puisse l’exhiber à nos proches qui le valideront.
Ainsi, à l’aide de selfies, nous prenons soins d’étaler sur internet nos joies artificielles dans des activités qui ne sont que la vitrine de notre ascension sociale. Le tout, sur notre peu de temps libre, payé avec du temps de vie, une large part de notre énergie concédée aux 1% des 1% détenant la planète entière.
Il en va de même pour notre santé, cette éducation ingurgitée de force nous limite dans la compréhension de ce que nous sommes, elle nous induit en erreur dans notre rapport au corps et à la maladie. C’est la raison pour laquelle nous négligeons notre alimentation, au point de la confier à des multinationales qui n’ont aucun scrupules à dégrader notre santé. Ces entreprises le font en toute conscience pour deux raisons aussi cyniques l’une que l’autre. La première c’est qu’il est vital de devenir toujours plus rentable, quitte à fermer les yeux sur ce qui peut nuire aux organismes qui vont absorber cette nourriture bon marché. La seconde, c’est que ces mêmes multinationales sont détenues par les puissantes familles qui ont aussi la mainmise sur les laboratoires pharmaceutiques. Nous faire tomber malade est donc profitable à bien des égards.
Toujours à cause de notre ignorance, nous n’avons pas les outils pour corriger durablement le stress qui nous ronge, nous sommes peu enclins à réaliser que notre état psychologique est un facteur déterminant de notre bien-être général. Nous n’écoutons pas notre corps, encore moins notre cœur, nous avons même du mal à concevoir qu’il puisse y avoir quelque chose à écouter. C’est la raison pour laquelle on se détruit en négligeant la valeur de notre énergie vitale, on oublie que nous sommes notre principal médicament et on sous-estime le besoin urgent de nous recentrer en entretenant l’idée fausse qu’il y a plus important, comme l’argent ou le travail.
Une fois malade, nous confions de nouveau notre état de forme général à des industries pharmaceutiques qui ne sont rentables qu’en nous vendant des médicaments. Cette industrie ne peut pas prospérer en jouant le jeu de nous soigner véritablement, elle n’est rentable qu’en entretenant un état de forme des individus qui nécessite une prise médicamenteuse. C’est ainsi que du jour au lendemain, tu te retrouves avec un « abonnement » à vie, une affection longue durée, un pilulier et des comprimés qui ne quitteront jamais ton quotidien.
Enfin, c’est toujours en conséquence de notre éducation scolaire et familiale que nous nous égarons émotionnellement dans nos relations. Totalement incultes à propos de notre nature profonde, nous nous trompons sur ce que nous sommes. Nous ne comprenons pas notre fonctionnement, ni notre essence, ni même notre but. Tout ce que nous croyons savoir à propos de nous-même, c’est ce que nous a légué le système : un empilement d’informations formatées qui composent notre conscience collective, des principes que tout le monde semble suivre à la lettre – sans réellement se poser de questions. Et ce que nous ignorons à propos de nous-même, nous l’ignorons bien sûr à propos des autres.
« L’éducation » délivrée par le système est une des raisons pour lesquelles nous voyons l’autre comme différent de nous, ou comme une potentielle agression. Il incarne une menace, un concurrent ou un ennemi. Voilà pourquoi nous éprouvons la plus grande difficulté à nourrir une relation authentique avec quelqu’un d’autre sur le long terme. Tout ceci explique pourquoi nos relations ne fonctionnent pas correctement.
Comment pouvons-nous avoir des liens sincères dans notre vie alors qu’on se présente au monde sans savoir qui nous sommes réellement ? Comment le moindre être humain pourrait combler nos attentes profondes alors que nous les ignorons nous-même parfaitement ? Incapables d’obtenir ces réponses, nous adhérons à cette valse des illusions, toujours sur un modèle qui ne nous appartient pas. Il y a de grandes chances que nous procédions à de mauvais choix. Par la suite, nous portons ce mauvais choix à bout de bras comme pour l’assumer et prolonger cette illusion alors que nous ne savons pas exactement ni de quoi, ni de qui, nous avons besoin.
Le conditionnement que nous avons tous subis est la cause de nombreux dysfonctionnements dans nos vies et ces dysfonctionnements sont la source de nos souffrances. Si nous voulons arrêter de souffrir, il est primordial de réaliser que ce formatage depuis l’enfance engendre deux effets majeurs qui tendent fatalement vers un changement significatif de notre part.
Premièrement, « l’éducation » inspirée de ce vieux modèle nous guide vers une existence infantilisée. Tout est conçu dans le but de maintenir notre paresse intellectuelle de manière à ce que nous confions naturellement notre indépendance à l’autorité d’un pays, d’une république ou d’un système qui pense pour nous et gère de nombreux domaines de nos vies.
Cette mauvaise habitude de déléguer notre réflexion sur les sujets de fonds enforce notre relation très forte à cette société matérialiste omniprésente et sculptée pour notre confort. Ce confort teinté de progrès et de technologie dans de nombreux domaines dessine une réalité de plus en plus humaniste qui tient l’homme pour valeur suprême en dépit de tous ses excès. Cette humanité qui croit maîtriser les éléments, qui a l’illusion de dompter la Nature et qui pense se soigner avec de la chimie est avide de technologie. Cette humanité se (dé)construit sur l’expression de l’Ego afin d’en assouvir ses besoins et ses caprices. Cette humanité te place au centre du monde, dans la peau du premier acteur du film de ta vie. Elle te fait confondre volontiers la fin avec les moyens, elle est allergique au débat, elle favorise l’individualisme, elle se gorge de l’aspect matériel de la vie en écartant toute forme de spiritualité – n’hésitant pas à rendre l’invisible et l’intangible ridicules à tes yeux. En résumé, cet humanisme qui s’efforce de placer l’homme au statut de dieu s’oppose à l’Univers, à la Nature et à tout ce qui nous dépasse. Car on ne peut voir dans cette opposition rien d’autre que la confrontation de deux visions du monde.
C’est le transhumanisme contre la Nature. L’égoïsme contre la bonté. Le pouvoir contre le Bon sens. C’est le contrôle contre la Liberté. Le mensonge contre la Vérité. L’obscurité contre la Lumière. Le mental contre le Cœur. La peur contre l’Amour.
Une fois son camp choisi dans cette guerre de système de valeurs qui cache en réalité une lutte spirituelle, on pourrait légitimement avoir envie de radicalité et de s’en prendre violemment aux élites mondialistes, au World Economic Forum ou de mettre le feu aux feuilles de route de l’agenda 2030. Mais ce ne serait rien de plus que la réaction logique d’un esprit « éduqué » par le système. Aussi, cette même réaction est attendue, pour ne pas dire programmée par ce même système. Sa réponse est donc déjà conceptualisée, financée, mise en œuvre par une intelligence artificielle décisionnelle et tapie dans l’ombre dans l’attente d’une nouvelle erreur de ta part.
N’en déplaise aux addicts des manifestations et aux lanceurs de pavés sur l’Elysée, la voie du changement s’éloigne d’une prise de la Bastille 2.0. Elle dépasse les limites des oppositions contrôlées ou des blocages qui n’ont que peu d’impact sur le plan des élites. Comme je l’ai tant désiré à un certain stade de ma compréhension, tu rêves de dégager notre président. Tu crois dans le RIC et les barricades, une part de toi prie pour que la force publique serve enfin le citoyen, c’est parce que tu n’as pas encore le recul suffisant. Es-tu sûr que le remplaçant du locataire de l’Elysée ne sera pas pire que l’actuel président ? C’est pourtant le cas dans de nombreux pays, les chefs politiques qui prennent la relève sont le fruit de l’idéologie mondialiste du Forum Economique Mondial. Admettons que nous parvenions à changer la personne aux manettes du pays, quel est le projet par la suite ? Quelle est la vision ? Quelle impulsion va-t-on réellement donner ?
En réalité, tu aimerais simplement revenir en arrière, retrouver ton confort, ta marge de manœuvre, l’économie telle qu’elle était avant que tu ne sois en difficulté et l’insouciance rattachée à une espèce de nostalgie. Ou au contraire, grâce à ce bouleversement politique obtenus à l’arrachée, tu souhaites de toutes tes forces que les responsables de ce mauvais rêve soient traduits en justice immédiatement, que les médias se parent tout à coup d’indépendance et d’impeccabilité. C’est parce que tu ne vois pas que non seulement les esprits pleinement acteur de ce système sont corrompus, mais que la structure elle-même de ce système n’est absolument pas fiable. Il suffit d’observer froidement les fondations de la République pour comprendre que le concept de démocratie tel qu’il nous est vendu dans la mémoire collective est une illusion.
Aussi, la voie du changement, celle qui pourrait absolument tout transformer du sol au plafond, dans les cerveaux et dans les cœurs, nous invite surtout à nous pencher sur le deuxième effet du conditionnement qui nous a endoctriné jusqu’ici.
Cette éducation qui suscite en nous colère et violence favorise principalement la haine car notre formatage a pour principal moteur la peur. A l’école, tu as appris ce qu’il y avait dans les manuels scolaires avec la crainte d’être puni. La pression de la mauvaise note a défini les limites de ton apprentissage, elle t’a mis en concurrence avec les autres quitte à nourrir une dépréciation de toi-même. C’est la peur de la sanction qui t’a lentement obligé à épouser le moule de la personne que tu es. Des cris, une claque, un coup de ceinture, une moquerie, un rejet, une rupture, une humiliation, une taxe, une majoration, une amende de 135€… Oui, ce système ne fonctionne que parce que ton logiciel baigne dans la peur.
Il faut bien réaliser que c’est la peur qui nous gouvernait jusqu’ici. La peur de manquer, peur d’être attaqué, mais aussi la peur du regard des autres, de l’abandon, du rejet, d’échouer, de réussir, de ne pas être dans la norme, de prendre des risques ou des coups, de tomber malade, de mourir, de ne plus pouvoir boire un verre en terrasse au cœur de la crise, ou pire encore… de ne plus avoir d’argent.
C’est la peur qui nous a poussé à devenir des individualités avides d’égocentrisme. C’est cette peur sous différentes formes qui nous a conditionné à accepter les nombreux visages du contrôle : monétaire, sécuritaire, sanitaire, mental. C’est sous l’emprise de la peur qu’on tolère que des commerces soient essentiels ou non, qu’on ferme des rayons livres, qu’on considère qu’il puisse y avoir deux catégories de citoyens. Hypnotisé par la peur, tu es enclin à accepter n’importe quelle solution pour cesser d’être effrayé. C’est encore et toujours la peur qui nous a invité à nous détruire, à mal manger, à fuir dans les divertissements et à nous égarer dans les addictions. C’est bien par les multiples expressions de la peur que nous sommes devenus des esclaves d’un système mafieux, tout simplement.
La peur nous réduit à l’état d’une toute petite chose vulnérable et éphémère qui se méfie de tout parce que ce sentiment terrifiant appelle à voir le danger partout. Mais la première bonne nouvelle, si on a l’honnêteté de regarder la situation objectivement, c’est que se défaire de la peur et s’affranchir des élites est excessivement simple. Désapprendre les années d’endoctrinement se fera si naturellement et si facilement qu’il n’est même pas besoin d’insister sur ce processus ici.
Cette libération passe nécessairement par un changement intérieur, une modification de notre perception et une bascule en douceur de notre état d’esprit : il s’agit d’un mouvement naturel de notre conscience. En clair, la véritable révolution capable de mettre fin à notre esclavage consiste à ce que toi et moi devenions ingouvernables.
Pourquoi ?
Parce que lorsque tu cesses d’avoir peur, tu arrêtes d’être infantilisé. Se faisant, tu refuses de confier plus longtemps ton existence à l’utérus artificiel qui nourrit ce rêve éveillé. Alors celui-ci n’a plus aucune utilité, ni aucun sens. Du coup, les lois, les gouvernements, les normes, le conformisme, la violence et toutes les fibres constituant la tapisserie de la matrice se déchirent. Il y a comme un accro dans la toile, un coup de canif qui lève le voile sur ta propre réalisation, sur la découverte et l’expérimentation de qui tu es vraiment : c’est-à-dire, un être ingouvernable.
Derrière ce mot ingouvernable, tu peux y voir l’indépendance, l’altruisme, la bonté, la force aussi et la clarté d’esprit. Je t’invite surtout à y voir l’Amour, même s’il est encore un peu tôt. Ingouvernable signifie que tu es un adulte totalement libre d’être heureux. Parce que tu es en conscience. Oui, pleinement conscient de ton pouvoir, tu réalises que celui-ci n’a aucun besoin d’être remis à quelqu’un, surtout pas à quelqu’un venu d’une élite.
Et pour que nous devenions ingouvernables, nous n’avons qu’à incarner les âmes libres, souveraines, aimantes et unies que nous sommes naturellement. Car il est impossible d’être à la fois ancré dans la peur et de ressentir l’Amour. Tu peux essayer, tu verras qu’on ne peut pas expérimenter les deux en même temps, puisque l’un est le contraire de l’autre. Le premier est une illusion, le second la stricte Vérité. La peur c’est vivre dans la peau d’un être minuscule, l’Amour, c’est (re)découvrir ta grandeur.
Je te demande de penser à l’effort colossal et permanent fourni par les élites dans le seul but de nous diviser jusqu’au stade d’insignifiants grains de sable, d’atomes isolés et impuissants. Que ce soit via différentes stratégies de dissonances cognitives, de tortures psychologiques ou à travers des mécanismes d’ingénierie sociale, le but recherché est toujours de nous réduire à la plus petite unité sociale possible tout en nous noyant dans la masse. C’est à l’état d’individus coupés de tout, du monde, de la Nature, du Ciel, de nos semblables, de nos valeurs, de nos traditions, de notre identité et surtout de notre intériorité que nous sommes constamment apeurés.
Ces mêmes élites s’échinent à mettre en esclavage l’Humanité à l’aide d’un unique levier : entretenir l’illusion de notre petitesse afin de mieux nous priver de notre grandeur. La grandeur est dangereuse, elle invite à penser par nous-même, à commencer à nous aimer un peu et elle murmure que nous n’avons plus besoin de maîtres.
Il est évident de comprendre que cesser d’avoir peur revient à les priver du moindre pouvoir sur nos vies. C’est un peu comme si les politiques gluantes, les idéologies toxiques et les étapes garantissant l’avènement d’un Nouvel Ordre Mondial s’écroulaient, faute de support sur lequel s’appuyer. Le mensonge du système n’a plus de prise, il ne tient jamais longtemps quand on le confronte à la Vérité. Celui-ci se dissout intensément quand tu le portes à la lumière.
La deuxième bonne nouvelle, c’est que je te propose un chemin très concret pour cesser d’avoir peur et pour que tu puisses entrevoir l’immense pouvoir que tu détiens. Sur cette route, il n’existe qu’un moyen d’échouer : c’est de ne pas t’autoriser à mettre un pied devant l’autre pour effectuer le premier mètre à mes côtés. Car dès que tu auras commencé à marcher dans cette direction, tu verras à quel point il est agréable et simple d’être ingouvernable. Tout simplement, parce qu’il est libérateur d’abandonner tes peurs. Il est naturel de retrouver qui tu es vraiment, tout comme il est facile de laisser derrière toi le vieux système à l’agonie. Et l’unique raison de la disparition de ce monde en déclin tient dans le fait qu’il est allé au bout de la haine. Alors je te propose de répondre à l’appel de notre destinée commune pour tenter d’aller tous ensemble au bout de l’Amour.
Avec un minimum de recul, tu conviendras qu’il est évident que chaque élan de haine cache une manifestation de la peur. Et tu admettras que la peur ne renferme rien d’autre qu’un appel à l’Amour. Oui, un cruel besoin d’Amour. Bien sûr, tu as le droit de te demander comment être heureux entre deux 49.3 et comment éprouver le moindre sentiment qui pourrait ressembler à de l’Amour dans une France macroniste à la solde de l’Etat profond démocrate Américain. Ne t’inquiète pas, ta frustration et ton agacement légitimes seront bientôt laissés sur le bord de la route, tu les abandonneras sans regret dès que tu auras compris quels outils utiliser. Je suis là pour te guider, et je suis accompagné de tous les membres de la communauté ayant déjà réussi ce pari. Il ne fait aucun doute que si tu as attiré ce livre jusqu’à toi, c’est que tu es en mesure de devenir ingouvernable à ton tour. Ce n’est même pas une question d’envie, ce n’est qu’une question de temps.
Et pour parvenir à ce résultat fabuleux qui pourrait bien ressembler au « premier matin du monde d’après », je te propose de t’accompagner lors de cette incroyable transformation personnelle durant une aventure de 28 jours.
28 jours pour être ingouvernable.
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Je suis en accord sir ta vision des choses. Et le piège me semble compliqué à être dévié.
Merci pour ton message et pour avoir pris le temps de me lire. Au contraire, je vais te partager la suite sur mon site et tu verras que la partie a déjà basculé en notre faveur.
Bonjour,
Merci pour ton partage.
Soignante suspendue et sans salaire, j’me dis que nous sommes trop peu nombreux à avoir fait ce choix pour évoluer et en même temps quand je vois toute cette solidarité grâce à laquelle je suis restée debout, c’est énorme. Ça motive vraiment à continuer même si presque 2 ans après cette suspension je ne sais toujours pas précisément ce que je ferai demain dans cette nouvelle vie qui s’offre à moi, mais une chose est sûr, il y a eu rupture ce 15.09.21 avec ce système.
Bisoubisous !!!
Bonjour Carole, tu as toute mon admiration et celle des Ingouvernables : un jour, il y aura un devoir de mémoire et les suspendus seront considérés comme des héros. Ta place est dans le schéma plus humain dont le monde a besoin. N’hésite pas à nous rejoindre, déjà parce que ça fait du bien et ensuite, parce que tu n’es pas seule. Bien à toi.