Les vaccins sont une technologie extrêmement élégante. Ils peuvent être peu coûteux, ils sont faciles à administrer et ils se sont avérés conférer une protection à vie contre la maladie. Chez Microsoft, nous avons rêvé de technologies simples, mais puissantes. Eh bien, les vaccins en sont une, et je rêve maintenant d’un monde qui bénéficierait pleinement des vaccins.
Bill Gates – 23 mai 2011 – 64e assemblée mondiale de la santé.
Tu es toujours avec moi ? Je te félicite pour le chemin qu’on vient de parcourir ensemble et j’espère que ce chapitre ne sera pas trop difficile à encaisser. Je veux que tu saches que c’est avec toute ma bienveillance que je tire sur ce nouveau fil. Si ta main tremble un peu, c’est peut-être parce que la laine que nous allons dénouer est délicate, pour ne pas dire épineuse, mais rassure-toi, je suis là. Reste près de moi, bien concentré et l’esprit affûté, car s’il y a bien 2 domaines sur lesquels les médias ont opté pour un traitement de l’information très particulier, c’est celui des vaccins et des chiffres.
Au JT à l’heure de grande écoute, en avril 2021, j’imagine que tu n’as pas beaucoup entendu parler des statistiques de Santé publique France concernant les décès Covid en réanimation, ceux qui démontrent que 83 % des patients décédés souffraient d’au moins une comorbidité (38 % hypertension, 47 % obésité).
Aujourd’hui, tu n’as pas un présentateur d’une chaîne info qui évoque le rapport de l’Institut Supérieur de la Santé italien (ISS) indiquant que seulement 2,9 % des 130 468 morts officiellement attribués au Covid-19 depuis février 2020 seraient effectivement dus à la maladie. Personne non plus pour te dire qu’il apparaît dans ce document officiel que 97,1 % des personnes décédées présentaient déjà entre 1 et 5 pathologies avant d’être touchées par le coronavirus.
Aucune rédaction en France ne prendra la peine de lever le voile sur les véritables chiffres au Royaume-Uni. De l’autre côté de la Manche, le présentateur Nigel Farage a annoncé avoir fait usage du droit à l’information libre et il a adressé une requête à l’Office National des Statistiques britannique (ONS). Pourquoi ? Simplement afin d’obtenir le nombre de décès dus « purement » au Covid, sans autre comorbidité (underlying cause). C’était le 19 janvier 2022, il a donc exigé de connaître le nombre de « vrais » morts du Covid (et non avec le Covid). Une nuance de taille puisque la réponse est 17 371. Presque 10 fois moins que les quelque 155 000 affichés dans les données « officielles ».
En Suisse, cette distinction, cette toute petite subtilité se base sur une définition qui ressemble à s’y méprendre à un mensonge, surtout si on écoute Ignazio Cassis, le président de la Confédération :
« C’est normal. Quelqu’un qui meurt dans un accident de voiture et qui est testé positif est compté comme un décès Covid. Cela dépend de la définition. Des définitions ont été établies dans le monde entier, et elles doivent s’appliquer partout (…) C’est l’OMS qui a établi cette classification. »
Cette classification officielle (page supprimée sur le site de l’OMS, mais retrouvée sur la way back machine) définit les lignes directrices sur le comptage des décès Covid-19. En page 8 de ce document, on découvre que le codage (la classification) de la mortalité pour cette maladie dispose de 2 nouveaux codes afin d’enregistrer les décès :
- U07.1 COVID-19, virus identifié
- U07.2 COVID-19, virus non identifié :
- Diagnostic clinique-épidémiologique de la COVID-19
- Cas probable de la COVID-19
- Cas présumé de la COVID-19
- Diagnostic clinique-épidémiologique de la COVID-19
- U07.2 COVID-19, virus non identifié :
Pour accompagner cette nomenclature, l’OMS complète :
« Si les deux catégories, U07.1 (COVID-19, virus identifié) et U07.2 (COVID-19, virus non identifié), conviennent au codage de la cause du décès, on reconnaît toutefois que dans de nombreux pays, il ne sera PAS précisé sur le certificat de décès si la COVID-19 a été ou non confirmée en laboratoire. En l’absence de cette précision, il est recommandé, uniquement à des fins d’enregistrement de la mortalité, de coder provisoirement la COVID-19 avec le code U07.1, à moins qu’il ne soit indiqué qu’il s’agisse d’un cas “probable” ou “présumé” ».
Ce que j’essaie de te dire en guise de préambule avant de tirer sur notre fil de laine, c’est que les chiffres de la mortalité Covid-19 ont été manifestement gonflés, ou, disons poliment, surévalués. De quoi insister lourdement sur l’urgence de trouver la solution, la clé, la lumière au bout du tunnel : la vaccination.
On l’a vu ensemble dans le chapitre précédent, le Dr Anthony Fauci, avec la complicité de l’OMS influencée par Gates, a tout fait pour éliminer les traitements précoces, décrédibiliser les molécules qui fonctionnent ainsi que les protocoles proposés par des médecins humiliés en public. Tout ceci dans le but de pouvoir clamer avec Billou au printemps 2020 qu’un « vaccin miraculeux » allait voir le jour.
Il faut dire qu’avec l’Opération Warp Speed déclenchée en mai 2020 par la Maison-Blanche, plusieurs milliards $ allaient tomber du ciel afin d’atteindre l’objectif de 300 millions de doses d’ici janvier 2021. Cet argent du contribuable américain distribué par Alex Azar (ministre de la Santé sous D. Trump, ancien lobbyiste chez le géant pharmaceutique Eli Lilly) a permis de nourrir les plus grands labos de Big Pharma :
- Moderna 2,48 milliards $
- Johnson & Johnson touche 1,46 milliard $
- AstraZeneca 1,2 milliard $
- Novavax 1,6 milliard $
- Sanofi et GlaxoSmithKline 2,1 milliards $
- Ainsi qu’une commande anticipée pour Pfizer-BioNTech de 2 milliards $
La course aux candidats vaccins est lancée, et pour te faire l’histoire très courte, les scientifiques du NIAID ont développé avec Moderna le vaccin ARN-m 1 273. Cette collaboration sur la technologie ARN-m ne date pas d’hier si on en croit les accords confidentiels signés entre les deux parties en 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020. Ce qui est pratique, c’est que le NIAID est copropriétaire du brevet, autant te dire que si par malheur la population mondiale avait besoin de plusieurs doses de rappel, l’administration américaine s’en mettrait plein les poches.
Et le comble du comble, c’est ce qu’il va se produire…
Il se trouve que, précisément dans le cadre des vaccins contre les coronavirus, durant des décennies, la science s’est heurtée à deux murs insurmontables : l’incapacité à mettre sur pied un vaccin procurant une immunité dite « stérilisante », et l’amorçage pathogène. Ne panique pas, je t’explique les deux termes techniques juste en dessous.
Quand les virologues parlent de vaccins conférant une immunité stérilisante, c’est tout simplement la capacité à enfermer ou barricader le virus chez la personne vaccinée pour rendre la transmission et la mutation impossible. On parle aussi d’étanchéité du vaccin.
Après les premiers essais dans la lutte contre le Covid-19, les candidats vaccins (notamment l’AstraZeneca) étaient tout simplement non étanches. On s’est rendu compte que les singes vaccinés avaient toujours une charge virale importante, même sans symptôme. Bref, c’est un échec rapporté dans le Daily Mailqui aurait dû pousser les responsables à arrêter les essais à ce stade, mais le Dr Fauci a préféré affirmer le contraire sur l’antenne de NBC News et soutenir que les résultats étaient encourageants.
Le hic, tu vois, c’est que lorsqu’un vaccin n’est pas « étanche » il nourrit le virus et facilite le développement de variants. Luc Montagnier, prix Nobel 2008 pour sa découverte du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) a immédiatement tiré la sonnette d’alarme quant aux essais : « Les livres d’histoire le montreront, car c’est la vaccination qui crée les variants. »
Décrédibilisé par tous les médias mainstream, notre brillant virologue français expliquait pourtant que dans cette configuration, face à des anticorps créés par le vaccin, le virus était contraint à « trouver une autre solution » pour se développer ou mourir. Ce qui entraîne fatalement une mutation : la création de variants résultant de la vaccination.
Mais le temps semble donner raison au Professeur Montagnier, car les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) affirment aujourd’hui qu’ils ne disposent pas de documents étayant l’affirmation selon laquelle les vaccins contre le COVID-19 ne provoquent pas de variants du virus à l’origine du COVID-19. En effet, dans le cadre de la loi FOIA (Freedom For Information Act), l’organisation à but non lucratif ICAN (Informed Consent Action Network) a demandé de lui fournir les documents étayant l’affirmation affichée sur le site officiel du CDC :
« De nouveaux variants d’un virus apparaissent parce que le virus responsable du COVID-19 change constamment par un processus naturel continu de mutation (changement). Plus le virus se propage, plus il a d’occasions de changer. Une couverture vaccinale élevée dans une population réduit la propagation du virus et aide à prévenir l’apparition de nouveaux variants. »
Dans sa requête officielle, le groupe ICAN a demandé tous les documents suffisants pour « soutenir que les vaccins COVID-19 ne créent pas ou ne causent pas de variants du virus qui cause le COVID-19 ». Et dans une seconde requête, l’ICAN a demandé tous les documents suffisants pour soutenir que l’immunité conférée par les vaccins COVID-19 ne contribue pas à l’évolution du virus et à l’émergence de variants.
Les deux réponses du CDC l’une en janvier et l’autre en mai, déclarent qu’une recherche « n’a trouvé aucun document répondant » à ces demandes. Le CDC n’a souhaité faire aucun commentaire suite à cette recherche infructueuse. Du coup, on est légitimement en droit de penser que le Pr Montagnier avait décrit un mécanisme de création de variants totalement plausible.
Et ce mécanisme est induit par le second terme technique dont je t’ai parlé, « l’amorçage pathogène ». Un énorme problème vaccinal connu sous le nom d’Antibody Dependent Enhancement (ADE). L’ADE est un mécanisme qui augmente la capacité d’un virus à pénétrer dans les cellules et à aggraver la maladie. « L’ADE se produit lorsque les anticorps générés lors d’une réponse immunitaire reconnaissent et se lient à un agent pathogène, mais ils sont incapables de prévenir l’infection. » Au lieu de cela, ces anticorps agissent comme un « cheval de Troie », permettant à l’agent pathogène de pénétrer dans les cellules et d’exacerber la réponse immunitaire.
En gros, tu te fais vacciner, et lorsque ton organisme croise le virus, tu souffres d’un renforcement de l’infection = tu es encore plus malade. Ce genre d’échec est déjà recensé par l’Université de Cambridge pour les vaccins contre le SARS-CoV-1, le MERS, le VIH, le Zika et le virus de la dengue.
Pas de problème pour Fauci, il y a des enjeux qui nous dépassent et les autorités ont tout de même donné le feu vert, y compris et surtout, pour Pfizer, en dépit d’un essai clinique aux données choquantes.
Après 6 mois d’étude sur le vaccin BNT162b2 qui deviendra le « Comirnaty » concocté par Pfizer, il apparaît dans les premiers essais que le sérum diminue effectivement la charge virale au bout de 12 jours, comme dans le graphique communiqué par le NIH ci-dessous :
En revanche, si on se penche sur les tout premiers rapports officiels fournis par Pfizer à la FDA et rendus récemment publics, il apparaît en page 43 (dans la section relative à la sécurité du vaccin), un tableau qui liste les évènements indésirables. Et ce tableau fait état à l’époque des décès à la dernière ligne, avec 1 mort du Covid pour le groupe ayant reçu le vaccin et 2 morts Covid pour le groupe placébo.
Selon Robert F. Kennedy Jr, c’est avec ce chiffre, sur la base du « risque relatif », que Pfizer a pu affirmer que le vaccin offrait une amélioration de 100 % quant à la mortalité du Covid. Forcément 2, c’est 100 % plus grand que 1… Cette révélation reprise et expliquée dans le livre de Robert F. Kennedy Jr laisse dubitatif, surtout quand on réalise qu’en calculant le risque absolu, il faut injecter 18 801 vaccins pour éviter 1 mort Covid. Et encore… tout ça n’est que pure théorie puisque tu viens de voir le nombre conséquent d’effets indésirables dans les documents les plus récents.
Tu admettras que le ratio 1/18 000 en termes d’efficacité pour lutter contre une pandémie, c’est assez mince. Mais la démonstration du risque relatif a suffi pour que Pfizer obtienne les autorisations en urgence de la FDA (accordées également pour Moderna, Johnson & Johnson). Mieux encore, Anthony Fauci a donné son aval sans qu’il n’existe aucune étude de lésions à long terme. Après tout, il fallait faire vite pour rester dans la dynamique du récit.
Hélas, la réalité rattrape les chiffres, mais ça, tu le sais déjà au fond de toi. Les scientifiques sont bien obligés d’admettre que l’efficacité n’est pas au rendez-vous. Dans le prestigieux New England Journal Of Medicine, une étude israélienne conclut que :
« Six mois après la réception de la deuxième dose du vaccin BNT162b2, la réponse humorale était sensiblement diminuée, en particulier chez les hommes, chez les personnes âgées de 65 ans ou plus et chez les personnes immunodéprimées. »
Autrement dit, la réponse immunitaire au virus permise par le vaccin ne dure pas six mois, ce qui pose un vrai problème quant à l’efficacité dudit vaccin. D’ailleurs, une étude qatarie confirme ces résultats :
« Le déclin de la protection vaccinale contre l’infection par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SRAS-CoV-2) ou la maladie à coronavirus 2019 (Covid-19) est préoccupant. »
En clair : le vaccin ne fonctionne que très peu de temps après la deuxième dose pour empêcher la circulation active du virus (être contaminé et contaminer les autres), et il n’empêcherait les cas graves que pendant six mois.
C’est justement ce qu’indique la Haute Autorité de santé dans son avis du 6 octobre 2021 concernant les doses de rappel, la HAS constate « la diminution progressive de l’efficacité vaccinale à distance du schéma avec 2 doses de vaccin ».
En résumé, nos responsables politiques nous ont engagés dans un engrenage de variants et de doses de rappel sans réelle fin et surtout sans efficacité – si ce n’est la performance financière phénoménale des injections puisque Pfizer, BioNTech et Moderna engrangent 65 000 $ par minute. Autant te dire que les milliers de vies abimées ou supprimées ne sont à leurs yeux que des dommages collatéraux, sinon pourquoi continueraient-ils ? Pendant ce temps, on subit une sorte de valse sanitaire à contre temps composée de « boosters », de pépins de santé et de déceptions. Et même en admettant que j’aie tort sur toute la ligne, si j’avais mal inteérpété les données, nous voilà tout de même privés de bon sens, on est ballotés entre une politique vaccinale drastique, mais toujours en retard (les injections ne sont pas spécifiques au variant qui se propage, elles sont basées sur la première souche virale) et les vagues de contaminations qui sont venues, qui viennent ou qui viendront.
Il est d’ailleurs assez stupéfiant de se rendre compte qu’un simple tour sur https://covidtracker.fr/ nous permet de voir que la vaccination massive est totalement décorrélée du nombre de contaminations, quel que soit le pays – surtout depuis que le variant Omicron traverse la planète. Commençons par jeter un œil au cas d’Israël :
Sur ce graphique que tout le monde peut consulter, tu observes la très haute couverture vaccinale à gauche. Pour autant, dans le même intervalle, tu constates que le nombre de doses injectées n’a pas empêché le pic de nouveaux cas Covid d’exploser (à droite). Je te laisse le soin de déduire ce qu’il faut en déduire…
Le Vietnam subit étrangement le même phénomène, une courbe de couverture vaccinale significative incapable d’empêcher le pic de nouveaux cas.
La France suit la même règle :
Le Royaume-Uni :
L’Italie :
La Thaïlande :
Le Bengladesh :
Les USA :
Tu l’auras compris, je peux continuer encore longtemps ainsi, la tendance est la même partout sur Terre. Et ce, malgré les efforts aussi désespérés que coordonnés des médias et des pouvoirs en place pour nous faire avaler le contraire et dissimuler la réalité. En parlant de dissimulation, ce n’est pas la seule chose qu’on nous cache à propos des injections. Non content de ne pas être en mesure de protéger et de freiner la transmission, en plus de se baser sur des essais cliniques aux méthodes totalement biaisées comme le souligne l’excellente étude de Christine Cotton lors de son audition devant les parlementaires français, il y a un aspect de ces « vaccins » qui doit interpeler à la fois ton intuition et ta raison : des effets indésirables qu’on glisse sous le tapis.
C’est le moment où la fameuse balance bénéfice-risque se met à sérieusement grincer…
En effet, je vais tirer doucement sur la pelote pour extraire le document Pfizer détenu par la FDA suite à l’autorisation de mise sur le marché. Un rapport rendu public dans le cadre du Freedom Information Act lors d’une action en justice initiée par 30 professeurs et scientifiques contre le laboratoire et la Food & Drug Administration. Celui-ci révèle de nombreux effets indésirables enregistrés et un millier de décès imputés aux injections sur une période de 3 mois. À partir de la page 30, sans aucune espace ni interligne, tu trouveras 9 pages d’effets secondaires pour l’injection Pfizer dont certains sont si graves qu’ils engagent la vie de l’individu ou le laissent lourdement handicapé pour la fin de ses jours.
Pire encore, BioNTech, le partenaire de Pfizer, dévoile discrètement dans son rapport annuel SEC 2022 qu’elle ne peut pas prouver la « sécurité du vaccin COVID-19 » pour obtenir une autorisation permanente. En page 6 du rapport, dans la section « facteurs de risques » tu peux lire noir sur blanc :
« Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19 et/ou de nos formulations spécifiques aux variants pour obtenir une approbation règlementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, dans l’Union européenne ou dans d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence ou obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.
Des évènements indésirables importants peuvent survenir pendant nos essais cliniques ou même après avoir reçu l’approbation règlementaire, ce qui pourrait retarder ou mettre fin aux essais cliniques, retarder ou empêcher l’approbation règlementaire ou l’acceptation par le marché de l’un de nos produits candidats. »
À présent, je vais te demander d’aller puiser en toi la force de lire la suite et de museler ta colère. Avec toute l’empathie que j’éprouve pour toi, j’ai le plus grand mal à écrire ce qui vient sans avoir la gorge nouée. J’ai beaucoup hésité à le coucher sur le papier pour te préserver, mais je crois qu’il me faut aller au bout de la démarche.
Ce que Pfizer se cache bien de révéler publiquement, ce sont les autres éléments de l’étude, notamment ceux « post autorisation ». Les documents communiqués par Pfizer à la FDA et les 80 000 pages délivrées à la Public Health and Medical Professionnals For Transparency (sous la contrainte du juge fédéral Mark Pittman) dévoilent l’envers du décor. Comme le rapportent les journalistes de The Exposé, l’un de ces documents, intitulé « reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf » atteste qu’entre 82 % et 97 % des 270 femmes enceintes lors de l’essai ont fait une fausse couche ou ont dû assister au décès de leur nouveau-né lors de l’accouchement. Pourtant, Pfizer a affirmé : « Aucun signal de sécurité n’a émergé ».
Dans un autre document dont le titre est « 5.3.6 CUMULATIVE ANALYSIS OF POST-AUTHORIZATION ADVERSE EVENT », le rapport en page 7 indique un total de 42 086 signalements d’effets secondaires, dont 1 223 réactions mortelles durant les 90 jours suivant l’injection dans l’essai.
Le rapport indique que sur ces 90 jours, le plus grand nombre d’individus ayant souffert d’une réaction à l’injection (13 739) provient des États-Unis et du Royaume-Uni (13 404).
Selon le document, les femmes (29 914) étaient 3 fois plus susceptibles de ressentir une réaction que les hommes (9 182). Au total, 1 223 personnes ont eu une réaction mortelle au vaccin expérimental de Pfizer. Sans parler des 11 361 cas qui ne se sont pas rétablis au moment de la publication du rapport. Quel est leur état de santé à l’heure qu’il est ?
Le rapport indique également que tout cas jugé « non grave » serait traité dans les 90 jours. Pourtant, ce rapport a été publié avant même que les 90 jours de disponibilité du vaccin de Pfizer ne se soient écoulés.
« En raison du grand nombre de rapports d’évènements indésirables spontanés reçus pour le produit, le titulaire de l’AMM a donné la priorité au traitement des cas graves, afin de respecter les délais de déclaration règlementaires accélérés et de garantir que ces rapports sont disponibles pour la détection des signaux et l’activité d’évaluation.
Les cas non graves sont traités dans les meilleurs délais et au plus tard dans les 90 jours suivant leur réception. Pfizer a également pris plusieurs mesures pour aider à atténuer la forte augmentation des rapports d’évènements indésirables. »
En page 6 du rapport, je te traduis ce que le laboratoire indique dans la section « 2 Méthodologie », les termes en gras sont de mon fait :
« Pfizer a également pris plusieurs mesures pour aider à atténuer la forte augmentation des rapports d’évènements indésirables. Cela comprend des améliorations technologiques importantes et des solutions de processus et de flux de travail, ainsi que l’augmentation du nombre de collègues chargés de la saisie des données et du traitement des cas. À ce jour, Pfizer a recruté environ [nombre masqué] employés à temps plein (ETP) supplémentaires. »
Toutes ces informations n’auraient jamais dû sortir au grand jour, Pfizer et la FDA ont tenté de conserver le secret pendant 75 ans, mais le laboratoire et l’administration américaine avaient forcément conscience de la dangerosité de ce sérum très tôt dans le processus. Alors que 161 juristes et experts aux USA épluchent les rapports incriminant Pfizer, tandis que l’excellente et très rigoureuse biostatisticienne Christine Cotton analyse les biais méthodologiques graves de ces essais… on se demande comment la FDA a pu fermer les yeux et prétendre que le produit expérimental était sûr, sans danger ?
J’espère que tu ne me détestes pas, du moins je prie pour que tu gardes l’envie de continuer ta lecture. On respire un coup tous les deux, on évite de penser aux myocardites et aux péricardites, on garde la tête froide et on s’en tient aux faits, juste aux faits.
Aux États-Unis, la pharmacovigilance est assurée par des remontées d’informations au sein du système VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System). Un système maintes fois pointé du doigt pour ne recenser que 1 % des déclarations. Et pourtant, même avec ces lenteurs et un phénomène de sous déclaration bien connu, les chiffres arrêtés au 15 avril 2022 sont édifiants :
- 1 237 647 déclarations d’effets secondaires suite aux injections,
- 50 700 handicaps permanents,
- 30 579 dangers de mort,
- 27 349 décès.
Je nous évite à tous les deux le calcul vertigineux découlant d’une projection avec les 99 % de déclarations restantes pour nous attarder sur la pharmacovigilance en Europe. Sur le vieux continent, c’est EudraVigilance qui s’occupe de rassembler les déclarations d’effets secondaires imputables aux injections.
Pour Moderna, on obtient 280 825 effets indésirables. 916 261 pour Pfizer-BioNTech, AstraZeneca engendre 479 080 déclarations, Johnson & Johnson 57 638 et Novavax 277. Au total ce sont 1 734 081 Européens touchés, autant de vies gâchées dans le silence méprisant des médias.
Toujours dans le plus grand silence des journalistes, nos jeunes athlètes tombent sur les terrains d’une manière inquiétante aux quatre coins de la planète. D’après un rapport du NIH, de 1966 à 2004, en moyenne 29 sportifs perdaient la vie chaque année en compétition ou en entraînement. Entre 2021 et 2022, on dénombre plus de 951 arrêts cardiaques, dont 86 pour le seul mois de janvier 2022.
Tableau des effondrements et des décès d’athlètes du 1er janvier 2021 au 21 avril 2022
Une image vaut parfois mieux que mille mots, le graphique ci-dessous issu des données du VAERS illustre parfaitement l’activité anormalement dense des déclarations depuis la vaccination contre le Covid :
Ce que cette image ne dit pas en revanche, c’est qu’un peu partout sur la planète, de nombreuses femmes se retrouvent bouleversées par des dérèglements de leurs cycles menstruels. À tel point que les NIH financent des études pour évaluer les effets potentiels de la vaccination contre la COVID-19 sur les menstruations. Une des premières scientifiques en France à nous alerter sur la fertilité de nos enfants est Alexandra Henrion-Caude (dont je t’ai déjà parlé il y a quelques chapitres) :
« Le problème de fertilité m’inquiète chez les femmes et chez les hommes. Chez les femmes, le récepteur de la spike est très présent au niveau du placenta et au niveau de l’organe reproducteur féminin […] certaines femmes ont eu des hémorragies fortes au niveau du vagin et de l’utérus, des ménopausées se sont mises à saigner massivement, des jeunes filles prépubères également sans que ça soit pour des règles et des arrêts de règles. »
Tu te doutes bien que le cartel médiatique s’est serré les coudes pour ne rien laisser passer et censurer le moindre groupe Facebook ou compte Instagram cherchant à recueillir les témoignages des personnes vaccinées. Cependant, il existe le collectif « Où est mon cycle ? » et son hashtag #ouestmoncycle qui commencent à fédérer un nombre important de victimes du vaccin. Son site internet vient d’ouvrir ses portes : ouestmoncycle.com
Les chaines de TV, la presse et les réseaux sociaux tous payés par les mêmes banques, fonds d’investissement et milliardaires fournissent un effort quotidien pour taire les atteintes cardiaques chez les enfants ou les jeunes adultes. Habituellement l’incidence des myocardites chez l’enfant, est faible, estimée entre 2007-2016 aux USA autour de 1/100 000 — selon les études scientifiques, soit un ratio de 10 par million.
Or, depuis l’arrivée des injections, on constate dans les NIH aux États-Unis un indice de 450 myocardites par million pour les jeunes de moins de 20 ans, soit une incidence multipliée par 45. La temporalité et le lien de cause à effet clairement établis par une étude canadienne, basée sur les données de santé Publique de la Région d’Ottawa, incrimine directement les vaccins ARN-m.
L’étude israélienne dans le New England Journal of Medicine confirme ce triste bilan, estimant une nette hausse de l’incidence de myocardites concernant les jeunes de 16 à 24 ans. Au Royaume-Uni, les données récentes de l’Office National de Statistiques anglais (ONS) sont également très inquiétantes pour les enfants. Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020. La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 coïncide avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS :
Toujours au Royaume-Uni, d’après le dernier rapport du gouvernement britannique ainsi que les données publiées par la UK Health Security Agency confirment que la population doublement et triplement vaccinée en Angleterre représente désormais 92 % de tous les décès de Covid-19. 4 décès sur 5 sont des personnes ayant reçu les trois piqûres.
Mais ce qui est plus inquiétant, c’est que les décès parmi la population vaccinée au cours des 4 dernières semaines sont le double du nombre de décès enregistrés parmi la population vaccinée tout au long du mois de décembre au plus fort de la vague Omicron. Alors que les décès parmi la population non vaccinée ont diminué de moitié.
Je pourrais continuer encore et encore, car l’actualité dans le monde s’accélère à ce sujet, mais il me faudrait un livre entier (et il se peut que cet ouvrage voie le jour un de ces quatre). Tu conviendras qu’à la lueur de ces quelques éléments, les citoyens les plus curieux, un peu pionniers dans la réinformation étaient en droit d’émettre des doutes et de ne pas se précipiter sur ce « vaccin-médicament ».
J’aimerais t’ouvrir mon cœur et te rassurer en te disant que ça va aller, qu’on va finir par laisser tout ça derrière nous, qu’on va soigner autant que possible et enfin ouvrir les yeux, c’est mon combat, ça peut à présent devenir le tien. Je voudrais te confier aussi à quel point on a humilié, caricaturé, rejeté ou pourri la vie des récalcitrants, les derniers résistants qui ont tenu face à une obligation vaccinale déguisée, même quand E. Macron souhaitait « emmerder » jusqu’au bout des « irresponsables », des sous-citoyens dont je fais partie.
Tous les plus grands spécialistes ayant pris le risque d’aller contre la doxa insufflée par Big Pharma se sont fait lapider sur les plateaux, criblés de mépris par des petits journaleux versaillais. J’ai également une pensée pour chacun d’entre eux, parce qu’à défaut de leur donner raison, on aurait au moins pu écouter les contradictions qu’ils offraient à un débat finalement mort dans l’œuf.
Alors que je t’écris le plus sincèrement du monde, une nouvelle étude canadienne suggère que de « se mélanger avec des non-vaccinés augmente le risque de Covid-19 pour les personnes vaccinées ». Si à première vue on en déduit qu’il s’agit d’une énième preuve démontrant que le vaccin ne protège en rien… les médias y voient l’opportunité de remettre une fois de plus la faute sur le dos des vaccinosceptiques. Outre la fracture sociale qui se creuse davantage, c’est un moyen comme un autre de préparer le terrain graduellement et de conditionner les esprits. Histoire de rendre acceptable l’idée de ne confiner que des non-vaccinés, pourquoi pas dans des camps, ça serait tellement rassurant ?
Ne t’inquiète pas, nous sommes légion et on résistera (j’y reviendrai au moment voulu). Nous ne sommes pas deux dans ta cuisine, mais des milliers. Des dizaines de milliers. D’ailleurs, il me faudrait tout un chapitre pour faire honneur aux nombreux soignants et pompiers suspendus sans aucune rémunération, dans l’indifférence la plus totale, écrasés sous le poids de la pensée unique financée par BlackRock et Vanguard.
Hélas, je n’ai pas le temps de te parler de ces 45 % de Français qui sont favorables à ce que l’État impose aux non-vaccinés la prise en charge du coût de leur hospitalisation, en cas de Covid-19. Pas le temps non plus de parler d’un petit monarque qui n’a de président que le nom et qui souhaite emmerder les non-vaccinés jusqu’au bout, soutenu dans un sondage par 42 % de nos compatriotes qui ne sont pas choqués par une drôle de vision de la démocratie. Car le plus important, l’urgence absolue reste la protection de nos enfants. C’est mon principal combat et le chemin que j’arpenterai jusqu’à obtenir une victoire totale.
À l’heure où je te parle, alors qu’on prend les plus grandes précautions suite aux contaminations à la bactérie E.Coli des pizzas Buitoni et que les rappels de produits Kinder se multiplient à grand bruit dans les médias… toi et moi, on se demande comment les autorités n’ont pas tout de suite arrêté la vaccination des gosses en bonne santé dès le premier enfant mort suite à l’injection. Puisqu’ils sont notre futur, la prudence s’imposait, mais au contraire, la France vient de recevoir, là, tout de suite, plusieurs millions de doses pédiatriques, c’est une donnée publique consultable sur data.gouv.fr (fichier flux-total-nat.csv).
Étrange réapprovisionnement d’injections géniques au moment même où le gouvernement français semble envoyer un signal qui convergerait vers une vaccination obligatoire des enfants de moins de 16 ans par l’élargissement des compétences vaccinales d’après un document de la Haute Autorité de Santé. Pour l’instant, rien n’est officiel, mais les prémices de cette décision viennent d’être posées par une discrète note de cadrage, aux apparences anodines, de la HAS. En sous-texte, l’idée d’élargir les compétences vaccinales des pharmaciens, des sagefemmes et des infirmiers pour les autoriser à prodiguer tous les vaccins, dont le vaccin contre le COVID, est assez lumineuse : elle permettrait de banaliser le vaccin contre le COVID en l’injectant en même temps que tous les vaccins obligatoires. S’ajoute à ceci, une nouvelle note de cadrage de l’HAS laissant supposer que le gouvernement prépare un flicage numérique pour la vaccination obligatoire.
Une orientation pour le moins troublante alors qu’une curieuse vague d’hépatites aigües d’origine inconnue s’abat sur les enfants de moins de 10 ans. Les premiers « experts » aux ordres des labos soupçonnent les effets néfastes du confinement, espérons qu’il y ait un éclair de génie dans la communauté scientifique et que quelqu’un se demande si les enfants touchés ont été vaccinés. Je dis ça, je dis rien, car 2 études publiées sur le site des NIH décrivent deux cas d’hépatites auto-immunes suite à la vaccination Covid-19. Oups.
La propre étude réalisée pour le compte de Pfizer montre en page 23 que les protéines de pointe circulent dans le corps après la vaccination par ARNm Covid-19, et la concentration la plus élevée se retrouve dans le foie.
« La concentration moyenne la plus élevée en dehors du site d’injection a été observée dans le foie, avec des valeurs de 27,916 μg équiv lipides/g (équivalent à une dose de 21,5 %) chez les hommes et de 30,411 μg équiv lipides/g (équivalent à une dose de 18,4 %) chez les femmes »
L’étude de l’agence de règlementation japonaise sur la biodistribution du vaccin Pfizer montre que le contenu de l’injection de Covid-19 se déplace du site d’injection, à travers la circulation sanguine, et se retrouve dans divers organes tels que le foie, la rate, les glandes surrénales et les ovaires pendant au moins 48 heures après l’injection. Si je peux avoir accès à cette information, on se demande bien pourquoi les autorités sanitaires n’orientent pas leurs recherches dans la bonne direction… Dans tous les cas, je t’invite d’âme à âme, de cœur à cœur à lire la longue lettre de cet éminent pédiatre, le Dr Rennebohm.
Et si tu n’as pas le temps, je te demande simplement de regarder tous les éléments dont on dispose déjà, de penser à tes enfants et de ne pas écouter les fanatiques aux ordres de Big Pharma qui t’incitent à faire piquer nos bouts de chou.
Parce que tu comprends bien qu’à 750 € de l’heure en centre de vaccination, jusqu’à 3 000 € le weekend, les médecins corrompus sont extrêmement favorables à ce que tout le monde passe sous les aiguilles, quel que soit l’âge. Cette crise met en lumière bien des défaillances d’un monde que je ne reconnais plus, mais elle souligne surtout la compromission du milieu scientifique et médical. Je t’invite d’ailleurs à vérifier sur le site Eurosfordocs.fr les quelque 8 652 710 307 € déversés par les labos pharmaceutiques pour financer les académies, fondations, sociétés savantes, professionnels de santé, établissement de santé, la presse et les médias…
Et c’est le moment où notre fil rouge nous emmène vers une question que j’adapte librement du court-métrage « I comme Icare » :
Comment en sommes-nous arrivés là ?
Je veux dire, comment pouvons-nous avoir des millions de gens handicapés suite aux injections, des dizaines de milliers de vies brisées et autant de morts sans que personne ne s’en inquiète officiellement ? Dans le cas d’un génocide par exemple, quand un tyran décide de tuer froidement 5 ou 6 millions d’hommes, de femmes, d’enfants, il lui faut au moins un million de complices, des tueurs, des exécuteurs. Alors, comment arrive-t-il à se faire obéir ?
La réponse est simple : en morcelant les responsabilités.
Un tyran a besoin avant tout d’un État tyran. Alors, il va recruter un million de petits tyrans fonctionnaires qui auront chacun une tâche banale à exécuter. Et chacun va exécuter cette tâche avec compétence et sans remords, car personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final.
Si je le transpose à notre situation, le pharmacien n’effectue que de simples tests de dépistage. Le médecin n’administre qu’un vaccin autorisé en urgence, c’est son métier. Les hautes autorités de santé n’ont fait que leur devoir pour répondre à une pandémie. Le ministre de la Santé n’agit que sur des études fournies par son cabinet. Le vigile à l’entrée du magasin applique seulement les consignes de sa hiérarchie pour te rappeler de porter le masque correctement. L’individu qui se fait vacciner ne remplit que son rôle de citoyen dans un « effort de guerre » collectif. La maîtresse d’école un peu trop stricte sur le port du masque se contente juste d’appliquer le protocole en vigueur. Tout simplement.
À tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable. Tout le monde dort bien, la conscience tranquille, alors que les plus puissantes familles du monde se frottent les mains sans la moindre considération pour les victimes des vaccins.
Ce qui nous invite à tirer un peu plus sur notre fil de laine en se demandant pourquoi les élites tiennent absolument à ce qu’on soit tous vaccinés avec un produit qui n’empêche pas de contracter le virus ni de freiner la transmission ? Pourquoi vouloir supprimer le groupe témoin des non-vaccinés puisque les injections sont encore en phase 3 d’essais ? Et surtout…
Qu’y a-t-il dans ces injections pour qu’on nous oblige si férocement à nous y soumettre ?
Ravi que tu poses encore tes yeux sur mes lignes. Si le cœur t’en dit, tu peux m’aider en partageant La Pelote de Laine autour de toi et sur les réseaux sociaux. Plus il y a de monde à tirer sur le fil rouge, plus nous aurons de chances de notre côté. 👌💪
…À mon petit niveau je n’ai plus de médecin référent à la sécu car je le boycotte en soutien à tous les “suspendus” illégalement jusqu’à leur réhabilitation…