La Pelote de Laine Chapitre 16

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Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus gros sont gardés par l’incrédulité publique.

Herbert Marshall McLuhan

Merci du fond du cœur pour avoir tenu bon jusqu’ici, en dépit de tes craintes et de l’avalanche d’informations pas toujours roses que je m’efforce de rendre digestes — avec plus ou moins de succès. Si tu observes le volume de notre petite pelote sur la table de ta cuisine, tu t’aperçois que nous avons fait le plus gros du chemin, mais cette fois, je vais te demander de me prendre la main, de ne pas la lâcher, puis d’inspirer profondément en regardant ce fil rouge. Ne le quitte pas des yeux, même si tu sens qu’on rétrécit tous les deux et que tu vois la laine grossir sous nos pieds. Les détails de la fibre apparaissent, des filaments écarlates se font plus nets alors qu’on se retrouve comme deux explorateurs minuscules sur un immense sentier rouge. Nous voilà tout petits, c’est exactement la taille qui nous faut pour avancer à présent sur ce chapitre qui va passer les injections au microscope.

Pendant que nos pas font un drôle de bruit sur cette route molletonneuse, je me dois d’être honnête. Si tu regardes des deux côtés du fil qu’on arpente, tu apercevras le vide, c’est précisément parce que nous sommes sur un chemin de crête et que je vais tout faire pour ne pas tomber dans les travers d’un thème mal documenté. Ce que j’essaie de te dire, c’est que nous arrivons à un point de la pelote qui dépasse à la fois mes compétences, mais aussi l’entendement. Si j’ai toujours apporté un maximum de sources à mes chapitres, cette fois, il y aura des éléments qui constitueront simplement un faisceau d’indices de par leur nombre ou leur similitude et non une preuve absolue. Toi et moi, on doit garder cette idée en tête comme une torche éclairant notre itinéraire qui débute par une question toute simple :

Tu connais la composition des vaccins ?

Pour ma part, je n’en savais rien avant de tenter de m’informer correctement. J’ignorais même que le fait de devoir rechercher la composition allait à l’encontre de la loi française. L’article L.1111-4 du code de la santé publique indique que l’administration d’un produit de santé doit se faire avec le consentement libre et éclairé du patient. Ce consentement induit que tout patient devrait avoir connaissance de la composition du produit avant d’accepter l’injection, à plus forte raison quand il s’agit d’une nouvelle « technologie » tu ne crois pas ?

Allez, viens, on avance doucement vers la zone qu’aucun média ne souhaite aborder…

Outre les sels d’aluminium déjà largement utilisés dans des vaccins commercialisés, tu trouveras des nanoparticules et des adjuvants. Les vaccins à ARN-m utilisent des nanoparticules de lipides appelées liposomes. Imagine de minuscules gouttelettes de graisse qui imitent les membranes de nos cellules pour transporter l’ARN-m à bon port. Ce qui permet aux particules non seulement de se rendre vers leur destination dans notre corps sans déclencher de réaction immunitaire, mais aussi de fusionner avec nos cellules qui peuvent ensuite absorber la molécule d’ARN messager et synthétiser la protéine pour laquelle elle code (la fameuse protéine Spike). Jusque là, tout va bien, mais maintenant, regardons la composition officielle du vaccin Pfizer « Comirnaty » :

  • Antigène
    • Une dose (0,3 mL) contient 30 microgrammes de tozinaméran, un vaccin à ARNm contre la COVID-19 (encapsulé dans des nanoparticules lipidiques).
      • Tozinaméran : ce nom désigne un ARN messager (ARNm) simple brin à coiffe en 5’ produit à l’aide d’une transcription in vitro sans cellule à partir des matrices d’ADN correspondantes et codant pour la protéine Spike (S) virale du SARS-CoV-2.
  • Excipients
  • ALC-0315
  • ALC-0159
  • DSPC
  • Cholestérol
  • Chlorure de potassium
  • Phosphate monopotassique
  • Chlorure de sodium
  • Phosphate disodique dihydraté
  • Trométamol
  • Chlorhydrate de trométamol
  • Saccharose
  • Eau pour préparations injectables
  • Hydroxyde de sodium
  • Acide chlorhydrique

Je vois une nouvelle fois tes sourcils froncés, on n’est pas plus avancés, je l’admets, si ce n’est que le composant ALC-0159 contient des molécules de polyéthylène glycol (PEG). Et alors ? Ces molécules pourraient être à l’origine de rares cas d’anaphylaxie (réaction allergique grave) qui ont été rapportés.

Plus globalement, on retrouve donc des composants lipidiques dans les excipients sans explication sur leur fonction (chaque labo protège sa recette, il y a des milliards en jeu, je te le rappelle). On ne sait rien sur la formulation galénique du vaccin (son aspect) dont le procédé est protégé, tout comme on ignore les technologies employées par Pfizer-BioNtech, en particulier la cinétique des nanoparticules, ce qui est valable également pour Moderna.

Au-delà de tout ce vocabulaire un peu technique, il se trouve que les nanoparticules présentes dans les vaccins n’ont pas encore d’indication thérapeutique et par conséquent elles ne sont pas encore dans la liste des produits de santé. En clair, il est possible que des nanoparticules intrinsèquement liées au fonctionnement breveté du vaccin ne figurent pas sur la composition officielle, car il y a un flou, un vide juridique.

Et vu que nous étions dans un contexte d’urgence mondiale, tu te doutes bien que nos amis de chez Pfizer se sont engouffrés dans la brèche en mode « Peter Daszak », obtenant au passage une autorisation provisoire, mais mondiale quant à l’utilisation de cette technologie.

En guise de pare-feu, la Convention d’Oviedo qui encadre l’usage des biotechnologies aurait pu imposer certaines limites sur l’emploi de cette technologie ou au moins nous aiguiller de manière intuitive. Pas de bol, il n’existe aucun cadre de loi clair tant l’émergence des nanoparticules est vaste. La seule structure à connaître le secret industriel de Moderna, Pfizer et d’autres labos par chez nous reste l’Agence européenne des médicaments qui a eu accès aux infos qualitatives et quantitatives pour délivrer une Autorisation de mise sur le marché (sans pression aucune de Big Pharma, qu’on se le dise).

En tout dernier ressort, on pourrait jeter un œil sur la liste des excipients à effets notoires de la Commission européenne, mais là encore, c’est loupé, elle date de 2003, mise à jour en 2017, autant te dire que tu n’y trouveras pas le genre de nanoparticules que l’on recherche.

Attends… Tu veux dire qu’il y a d’autres nanoparticules ? D’un autre type ?

Avant de te répondre formellement, remontons quelques années en arrière. Désolé par avance pour ce passage un poil technique, mais nécessaire si on veut avancer sans trébucher sur notre laine rouge. Déjà en 2005, Walt A. De Heer publiait dans « Science » ses découvertes et observations concernant des perles de graphène liquide.

«Des billes sphériques de carbone amorphe de taille inférieure au micromètre, régulièrement espacées, se trouvent souvent sur les nanotubes à la surface de ces colonnes.»

Toujours la même année, des travaux sur la formation de chapelets de perles de carbone liquide sont partagés par le chercheur Hideo Kohno dans le Journal japonais de Physique appliquée.

En 2008, la science avance sur ce volet et Li Song publie un article décrivant son succès à synthétiser un collier de perles en nanofilaments de carbone. «Les perles rapprochées pourraient fournir un point d’adhérence afin de libérer le glissement entre les matrices-hôtes et les filaments. Il a été observé, récemment, des nanotubes de carbone, recouverts de perles de verre de carbone, qui constituent des produits de décharge de l’arc. De courtes perles de carbone, avec des cônes saillants, ont été produites par le biais d’un processus de catalyse.»

Dans une étude publiée en 2017 sur Nature, les chercheurs rapportent avoir fabriqué un nouveau matériau composé d’oxyde de graphène magnétique incorporé « Fe3O4@polyaniline ». En dehors du fait que ça te fait une belle jambe, l’oxyde de graphène a été utilisé dans ce cas précis pour dépolluer de l’eau (éliminer le bisphénol A (BPA), l’α-naphtol et le t-octyl-phénol) par extraction magnétique.

Plus récemment, sur le site de l’American Chemical Society, un article de Rumiana Tenchov nous explique clairement que les nanoparticules lipidiques sont un composant essentiel des vaccins Pfizer/BioNTech et Moderna ARNm COVID-19. Les liposomes jouent un rôle- clé dans la protection et le transport efficace de l’ARNm au bon endroit dans les cellules, comme je te l’ai expliqué. La stratégie basée sur les nanoparticules pour combattre le COVID-19 est donc largement décrite dans la littérature scientifique, notamment sur le site des NIH, mais également en ce qui concerne les nanoparticules métalliques.

D’ailleurs, dans une étude portant sur la vaccination intranasale, il est démontré par les chercheurs des réponses immunitaires robustes et largement réactives induites avec des nanoparticules de graphène.

En 2016 les scientifiques de l’Université Rice ont largement décrit le phénomène de teslaphorèse. À savoir qu’un champ de force puissant émis par une bobine Tesla provoque l’autoassemblage des nanotubes de carbone en longs fils. Une image est parfois plus parlante, qu’une longue tirade, il existe d’ailleurs une vidéo que tu peux consulter et dont j’extrais une capture :

Mieux encore, une étude de 2021 publiée sur la revue MDPI et intitulée «Capteurs tactiles et thermiques construits à partir de nanocomposites carbone-polymère — Un examen critique» suggère que la teslaphorèse n’est pas toujours nécessairement requise pour autoassembler des circuits fonctionnels à divers types de biocapteurs, par exemple les CNPC (sensibles à la pression et à la température). La conductivité du système qui repose sur les voies peut s’opérer par pression ou par température. Les chercheurs décrivent au passage une architecture générale d’ontologie constituant tout système « fonction-contexte-comportement-principe-état-structure » (FCBPSS). Cette architecture comporte six catégories de concepts : structure, état, comportement, principe, contexte, et fonction. Selon l’équipe, « Le comportement est la relation causale entre un ensemble de variables d’état. »

Pourquoi je te raconte tout ce charabia ?

Je suis loin d’être un scientifique, je n’en ai pas le cursus et sans doute pas les capacités pour comprendre 100 % du contenu de ces papiers très techniques. Je ne dispose pas de microscope optique ni électronique, en revanche, le Pr Pablo Campra Madrid est bien équipé, lui. Le 10 juin 2021, il met la main sur un flacon de Pfizer-BioNTech :

COMIRNATY. Sterile concentrate. COVID-19 mRNA. 6 doses after dilution.

– Discard date/time:PAA165994.LOT/EXP : EY3014 08/2021

Et il publie son étude dans un rapport complet au cours duquel il compare ses observations aux images de la littérature scientifique obtenues par les mêmes techniques, avec les mêmes outils.

À gauche, tu as l’échantillon du sérum Pfizer, à droite un visuel de référence. Voici les premières conclusions du Dr Campra :

«Les images MET de l’échantillon RD1 présentent en général une grande similitude avec les images d’oxyde de graphène de la littérature obtenues par la même technique MET, avec des grossissements similaires. Une matrice ou un maillage complexe de feuilles flexibles translucides pliées peut être observé, avec un mélange d’agglomérations multicouches plus sombres en raison de la superposition locale des feuilles et de la disposition locale des feuilles individuelles parallèlement au faisceau d’électrons. Après le maillage, une forte densité de formes claires arrondies et elliptiques non identifiées apparaît, correspondant éventuellement à des trous générés par forçage mécanique du maillage lors du traitement. Nous montrons ici 3 images à grossissement progressif.»

Le chercheur confirme que les images obtenues à partir du grossissement optique de son échantillon pourraient correspondre au schéma structurel du graphène. «Les formes et dimensions des feuilles (de graphène) sont très variables, elles se présentent aussi bien sous forme de feuilles que de rubans ou de bandes repliées sur elles-mêmes.»

En conclusion, le Pr Campra Madrid indique que l’étude microscopique de l’échantillon fournit des preuves solides de la présence probable de dérivés du graphène. Toutefois, il nuance avec honnêteté ses propos en insistant sur le fait que l’identification définitive du graphène, du graphène oxydé (GO) ou du graphène oxydé réduit (rGO) dans son échantillon nécessite une analyse approfondie avec les outils et les techniques adaptés.

Une piste donc, mais pas encore une preuve formelle.

Je te laisse imaginer une seconde ce que le fact-checking en a pensé, d’autant que sur ce sujet, aucune université ni aucun centre de recherche ne prendrait le risque de cautionner des travaux pouvant nuire au cartel de Big Pharma (sous peine d’avoir les vannes des subventions fermées pour de bon).

Mais il se trouve qu’en Nouvelle-Zélande, un expert en technologie des nanoémulsions, le Dr Robin Wakely, a lui aussi examiné les injections de Pfizer au microscope. Ce microbiologiste à la portée internationale affiche des milliers d’heures d’expérience en microscopie au compteur. Il a déjà participé au développement de technologies brevetées de délivrance de nanoémulsions. Qui pourrait être mieux placé que lui pour se pencher sur la solution contenue dans les flacons Pfizer ?

Donc le Dr Wakely, armé de son microscope (x650) et son contraste de phase, fait alors 3 découvertes étonnantes. La première, c’est que les fameuses nanoparticules lipidiques des vaccins semblent continuer à s’autoassembler d’une manière qui forme des structures colloïdales faisant penser à un collier de perles en nanofilaments.

Sa deuxième découverte, c’est que ces structures colloïdales changent de forme en réponse à une collision avec des interfaces telles que les surfaces en verre du microscope (ou les lamelles), des préparations ou des bulles d’air, ou d’autres interfaces — par lesquelles elles commencent à prendre une forme beaucoup plus structurée. Cette formation non naturelle dessine beaucoup de lignes droites et d’angles droits — «des sortes de choses qui ne se produisent généralement pas dans la nature en dehors de la cristallographie». Sauf qu’il ne s’agit pas de cristaux ici.

Et donc la troisième découverte est une convergence des deux premières : ces feuilles et fils à angle droit semblent former des structures colloïdales dans certaines situations, où il se pourrait que certains déclencheurs environnementaux soient impliqués.

Mais le tout s’ordonne d’une manière complexe hautement ordonnée — une manière assez inhabituelle. Du jamais vu.

Le mars 2022, le Dr Montesino, un français cette fois, nous fait part de ses observations sur le sérum de Johnson & Johnson et de Pfizer. Il a eu l’opportunité d’examiner directement l’excipient du vaccin avec un microscope industriel. Le phénomène dont il témoigne s’est vérifié selon lui sur plusieurs flacons différents, le Dr Montesino confie que ce qu’il a observé dépasse son champ de compétence. Je t’invite à consulter sa vidéo, elle est édifiante :

Pour le liquide Johnson & Johnson, on y observe une forme presque florale qui mute seule sous nos yeux, des branches semblent sortir ici et là en respectant un scénario et une logique qui dépassent l’entendement. Étrange pour un excipient, censé être le « liant » le plus neutre possible. Regardons à présent le « liant » du sérum Pfizer :

Là aussi, on dirait que la substance est tout sauf inerte, contrairement au vaccin de la grippe – comme le souligne le Dr Montesino – dont l’excipient ne donne à l’observation que des cristaux immobiles, ce qui est généralement attendu dans ce type de configuration.

En Nouvelle-Zélande de nouveau, l’investigation se poursuit avec une vidéo dévoilant une goutte de Pfizer Comirnaty sur une lame, vue au microscope à fond noir avec un grossissement de 800X (le deuxième jour). Je n’ai pas les compétences pour te certifier que l’échantillon est bien celui d’un vaccin ni pour te garantir que celui-ci n’a pas été contaminé. Faute d’avoir un vrai débat scientifique ouvert au public, il nous faut traiter chaque information en conservant une forme de lucidité. Il apparaît sur la séquence que les grandes formes se développent à partir des plus petites :

Le 23 février 2022, le Dr José-Luis Sevillano du collectif La Quinta Columna nous livre ses commentaires portant sur les formes tentaculaires croissantes dans un vaccin de Pfizer. Ces mêmes formes donnent lieu à des éléments rectangulaires surprenants. Je tiens à préciser que le collègue du Pr Campra Madrid, Dr José-Luis Sevillano, est à la base « simple » médecin de famille, ce qui n’a rien de déshonorant, mais je me dois de le préciser par honnêteté intellectuelle. Aussi les images ci-dessous peuvent et doivent interpeler ton sens critique, gardons un peu de recul :

Dans sa vidéo, il évoque la piste de micropuces dont on semble apercevoir les « circuits » sur ses clichés. Sur la même lancée, en juillet 2021, un Britannique, le Dr Philippe van Welbergen, présente une première séquence de photographies microscopiques de sang de personnes vaccinées et non vaccinées. Les images induisent une destruction des globules et suggèrent la présence de graphène. Il poste alors une série d’autres clichés le 12 février 2022 dans une nouvelle vidéo – à considérer encore une fois avec recul et lucidité.

En février 2022, Agora TV poste à son tour une séquence d’images au microscope concernant les vaccins Pfizer et Moderna. Je n’ai aucun lien avec l’auteur de la vidéo, je ne suis pas en mesure d’en certifier l’authenticité, mais j’estime qu’elle vaut quand même le coup d’œil. Car l’équipe constate également une forme d’autoassemblage de nanotechnologie, nanocircuits intégrés et nano-objets naviguant dans le produit expérimental :

Tu noteras la similarité entre ces images et les clichés observés par le Dr Wakely en Nouvelle-Zélande. C’est pour cette ressemblance troublante que j’ai pris la liberté de t’en informer. Ce n’est toujours pas une preuve, mais des observations qui convergent dans une même direction. À moins que les auteurs de la vidéo aient inclus les éléments du Dr Wakely ? Je ne peux pas en mettre ma main à couper, la question reste donc entière.

En octobre 2021, Salvador Pérez Martín, « simple » infirmier, utilise un microscope Bresser avec caméra 5 Mpx. Deux agents de santé locaux lui ont fourni huit flacons scellés, plus un neuvième échantillon. Avec un grossissement 125X et 500X, il obtient les images suivantes :

Des éléments qui se retrouvent dans les 9 flacons observés selon lui. J’admets que ces clichés coïncident sensiblement avec les nouvelles observations aux microscopes réalisées par les chercheurs de la Quinta Columna en avril 2022 :

Le conférencier allemand et ingénieur industriel européen du département de recherche et développement, Holger Reißner, a fait des observations inquiétantes au cours de ses études sur des centaines de doses de vaccins anti-Covid. Toutes les doses de vaccin que lui et son équipe ont examinées contenaient des contaminants potentiellement dangereux : notamment du graphène.

Pour valider ses données, il a partagé les résultats avec diverses institutions nationales et internationales (Comusav, Conuvive, Physicians for Education, Advocates for Education, The Base, MWGFD, World Council for Health, Pathologists for Education, et bien d’autres) en espérant de tout cœur être démenti. Car il a découvert que le graphène dans cette configuration pouvait provoquer une nécrose, une fibrose et une thrombose et donc présenter un risque potentiellement mortel.

En Argentine, le Dr Marcelo Dignani découvre également du graphène dans les sérums contre le Covid et il filme directement le résultat obtenu dans son microscope :

De son côté, le collectif « la Quinta Columna » poursuit ses recherches et semble encore tomber sur des formes étrangement anguleuses qui laissent penser aux investigateurs qu’il s’agirait une nouvelle fois de micro-circuits : 

En Israël, de nouvelles découvertes du Dr Shimon Yanowitz nous indiquent la présence de graphène ainsi qu’un phénomène d’autoassemblage, dans les vaccins Moderna, Pfizer, Astra-Zeneca et Janssen. Les images rappellent étrangement ce que je t’ai montré plus haut :

Quant au Dr Daniel Nagase, il partage ses analyses en microscopie électronique concernant les vaccins Moderna et Pfizer. Il y trouve différents matériaux (graphène, silice, thulium, etc.).

On avance toujours délicatement sur notre tapis de laine rouge, j’espère que tu me tiens toujours la main et que tu ne me détestes pas de toutes tes forces, car je vais te parler du microscope à fluorescence à champ vital. C’est une petite révolution dans le domaine de la microscopie qui permet aux chercheurs d’observer les globules rouges, les globules blancs, l’ADN ou encore l’ADN dans le sang. À l’aide de cette technique, Armin Koroknay, un chercheur suisse spécialiste en toxicologie, immunobiologie et microbiologie nous partage ses observations sur le sang des personnes vaccinées et non vaccinées.  

À gauche, tu as l’échantillon de sang d’une personne d’une cinquantaine d’années, non vaccinée. On voit des globules rouges qui sont parfaitement séparés les uns des autres, le sang est fluide. À droite, le sang d’une personne qui vient juste d’être vaccinée, les agglomérats anormaux de globules rouges sont troublants. Le chercheur affirme que cela est dû principalement à une perturbation des champs électriques et à un niveau très bas de minéraux contenus dans le sang observé.

Voilà qui commence à faire un paquet d’observations aux quatre coins du globe constituant, non pas des preuves formelles, mais des indices solides. Suffisamment solides pour susciter au moins le doute.

Je vais à présent te parler d’un généticien et pharmacologue italien. Le Dr Domenico Biscardi a été retrouvé mort chez lui après avoir annoncé qu’il avait les preuves définitives que des nanodispositifs étaient contenus dans les « vaccins » et qu’il comptait déposer une plainte auprès de la Commission européenne. La cause du décès semble être « une crise cardiaque »…

Le Dr Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, expert sur le carbone, est mort quelques heures seulement après avoir dénoncé les effets de l’hydroxyde de graphène dans les vaccins. Selon lui, c’est une nanotechnologie s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, « comme des nanolames de rasoir ». Arrêté par la police en direct durant sa vidéo YouTube le 23 novembre, le Dr Noack a été « battu à mort » selon sa femme.

Bien sûr, dans un monde idéal, il nous faudrait une équipe indépendante capable de « débunker » tous ces médecins qui vont à l’encontre des « études » officielles. Des études qui sont d’ailleurs financées par les laboratoires pharmaceutiques fournissant les fameux vaccins, les labos sont donc dans cette affaire à la fois juge et partie sans que personne n’y trouve rien à redire. Tu pourrais me répondre que ces gens partageant leurs observations au microscope ne sont personne, qu’ils n’ont pas la légitimité pour affirmer quoi que ce soit. Mais en même temps, je ne suis absolument pas journaliste, je n’ai jamais eu de carte de presse, ce qui ne m’empêche pas de fournir un effort plus consistant et honnête que la plupart des rédactions payées par les GAFAM.

Plus globalement, je me demande pourquoi toutes ces femmes et ces hommes nous mentiraient alors qu’il n’y a que des coups à prendre dans cette histoire ? Ils sont traînés dans la boue, ils perdent parfois leurs carrières et malheureusement la vie comme on vient de le voir. Qu’auraient-ils à gagner en inventant sensiblement la même chose ?

Je n’ai pas la réponse, tout comme j’ignore si tu tiens encore le coup. J’espère que ce tour du monde des microscopes ne t’a pas trop affecté, que tu as encore des forces pour lire la suite, car on abordera quelques pistes pour éliminer le graphène de ton organisme. Après tout, je ne peux pas t’emmener au bord du vide sans t’offrir un début de solution, ça ne serait pas correct.

Mais avant, on doit encore marcher sur quelques mètres de laine et il me faut attirer ton attention sur les révélations de Melissa McAtee qui travaillait chez Pfizer depuis une dizaine d’années. Lorsqu’elle a appris que Pfizer entamait les démarches pour obtenir l’autorisation de vacciner les bébés, elle a tout simplement quitté le navire, c’était trop pour elle.

Elle a divulgué par la suite une chaîne d’e-mails provenant des cadres de la société, ils discutaient de la meilleure façon de cacher au public des informations sur l’utilisation de lignées de cellules fœtales, dérivées d’un bébé avorté, dans le développement du vaccin Pfizer.

L’un des cadres de chez Pfizer, « Dormitzer », a en effet écrit qu’il existe « une réponse approuvée » à la question de l’utilisation de lignées cellulaires fœtales. Il a même reconnu que les « cellules HEK 293T » sont « finalement dérivées d’un fœtus avorté ».

Au passage, juste pour info, HEK signifie Human Embryonic Kidney (rein embryonnaire humain), et 293 est le nombre d’expériences nécessaires pour obtenir la lignée cellulaire à partir du rein du bébé avorté. Visiblement, c’est une pratique assez courante dans les labos pharmaceutiques.

Et en parlant de bébé, j’en profite pour rebondir une nouvelle fois sur les doutes qui traversent une partie de la communauté scientifique quant à l’infertilité que pourraient causer les injections.

Pourquoi les vaccins COVID-19 pourraient-ils affecter la fertilité humaine ?

Premièrement en raison de la forte similitude entre les « syncytines » et la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 selon les scientifiques. On ignore si les anticorps générés par la vaccination réagissent de manière croisée avec les syncytines. Les syncytines sont des protéines qui ont pour fonction la fusion des cytotrophosphates fœtaux, qui jouent un rôle-clé à la fois dans le processus d’implantation de l’embryon et du développement placentaire. Le résultat serait une fausse couche de l’embryon chez de nombreuses femmes vaccinées.

Deuxièmement, les injections expérimentales contre le COVID-19 pourraient affecter la fertilité humaine, car les niveaux d’expression de l’Acide ribonucléique messager (ARNm) des syncytines augmentent progressivement dès le début de la conception, pendant le premier trimestre et jusqu’à la fin de la grossesse. En d’autres termes, si la quantité de protéine ou d’ARNm du gène de la syncytine diminue, on observe des défauts de formation placentaire, une mauvaise différenciation des trophoblastes et un dysfonctionnement vasculaire du placenta. Un peu comme si la femme enceinte faisait une prééclampsie ou souffrait d’hypertension gestationnelle, tu vois ?

Tu pourrais me dire que c’est trop gros pour être vrai, pourtant ce n’est pas la première fois dans l’histoire qu’une vaccination massive rendrait des hommes ou des femmes stériles.

Le cas le plus célèbre a eu lieu en Afrique et a été déterré en février 2015. La Conférence épiscopale du Kenya a dénoncé que 30 % des flacons de vaccin antitétanique utilisés lors d’une campagne parrainée et promue par l’OMS et l’Unicef, l’année précédente, contenait du Hcg, l’hormone gonadotrophine chorionique humaine, une hormone qui peut empêcher la grossesse (lorsqu’administrée sous la forme d’un vaccin).

Impossible à cet instant précis, de ne pas avoir une petite pensée pour Bill Gates, pour sa phénoménale capacité à corrompre l’OMS, pour ses penchants légèrement eugénistes et son équation à la con qui vise à réduire la natalité, ainsi que pour le brevet WO/2020/060606 déposé par Microsoft.

Allez, promis cette fois c’est terminé, je t’ai assez malmené, on a suffisamment avancé comme deux malheureuses puces sur notre fil de laine. Hop, je m’offre le luxe de nous rendre une taille normale et tandis que tu reprends ton souffle, que tu tiens de nouveau ce fil rouge en maudissant peut-être ma stupide pelote, je te laisse retrouver tes esprits pour t’indiquer quelques pistes documentées qui t’aideront à « soigner » ton organisme.

Attention toutefois, je ne suis pas toubib, les informations ci-dessous ne sauraient en aucun cas remplacer l’avis et les soins prodigués par ton médecin. Tout traitement médical et médicamenteux ne doit pas être interrompu sans l’avis de ton docteur.

De plus, je t’invite à consulter la règlementation en vigueur concernant les compliments alimentaires. Te voilà prévenu.

Un moyen efficace pour dégrader le graphène est le glutathion. C’est un protecteur cellulaire, un adaptogène, un puissant anti-oxydant, un détoxifiant, un promoteur du système dénommé immunitaire, un nutriment essentiel, une substance énergisante, antivieillissement et médicinale… d’après de nombreux articles scientifiques, cet anti-oxydant réduirait même la toxicité du graphène à zéro.

Les fruits et légumes qui contiennent le plus de glutathion sont les suivants par ordre d’importance :

  • avocats et asperges (avec près de 30 mg/100 g) ;
  • noix et pommes de terre (avec 15 mg/100 g) ;
  • épinards et gombos (avec près de 12 mg/100 g) ;
  • brocolis, tomates, melons, carottes, pamplemousses, oranges, courges, fraises, pastèques, papayes, piments, pêches (entre 5 et 10 mg/100 g) ;
  • citrons, mangues, bananes, choux, concombre, piments immatures, pommes, raisins (entre 3 et 5 mg/100 g).

Ensuite tu as la NAC (750 mg) N-Acétyl Cystéine qui est un dérivé synthétique de la cystéine.  La cystéine est un précurseur du glutathion, l’un des deux antioxydants les plus puissants dans le corps.Deux études scientifiques montrent son incroyable efficacité « Efficacy of N-Acetylcysteine (NAC) in Preventing COVID-19 From Progressing to Severe Disease » ainsi que celle du NIH.

C’est également la N-Acétyl Cystéine qui permet de soigner la toxicité au paracétamol dans le corps. Le paracétamol (qui est le médicament allopathique le plus prescrit en France) réduit dramatiquement les taux de glutathion, dans le foie, de 70 à 80 %. Prendre du doliprane avec les symptômes Covid ou contre les douleurs liées aux vaccins serait une erreur.

Un excellent allié dans ton rééquilibrage sera la mélatonine, substance sécrétée par la glande pinéale du cerveau (épiphyse) de la tombée de la nuit à la levée du jour.

La mélatonine est réputée synchroniser les oscillateurs périphériques et permet, ainsi, une organisation harmonieuse des fonctions biologiques au travers des rythmes circadiens. La mélatonine est un antioxydant qui joue un rôle dans l’activation d’autres antioxydants. Selon des études cliniques, la mélatonine est aussi très efficace contre les symptômes du Covid.

L’incontournable vitamine D, bien sûr. Il existe une centaine d’études portant sur le soulagement des symptômes Covid à l’aide de la Vitamine D3 ainsi que sur ses bienfaits postvaccination. La vitamine C également, parce qu’elle augmente le % de glutathion dans ton organisme. Mais son effet n’est efficace qu’en présence des trois acides aminés que sont la cystéine, la glycine et l’acide glutamique.

En complément, on recommande du Zinc afin de rehausser celui en partie détruit par l’oxyde de graphène présent dans l’organisme.

Il faudrait que je te parle en détail de la Cystéine, la Glycine, l’Acide glutamique, de la Nicotine et du Tabac, des Artémisias, des Plantes médicinales très anti-oxydantes. Il me faudrait beaucoup plus de temps pour développer les bienfaits du charbon de Bois Activé, des Zéolithes, du dioxyde de Chlore, de l’Acide shikimique, mais je t’invite à lire cet excellent article sur les Protocoles Anti-Graphène, autres substances anti-oxydantes et réductrices de l’Oxyde de Graphène.

Je range mon ordonnancier magique de docteur que je ne suis pas, pour enrouler de nouveau notre cordon rouge autour de mon index. J’espère que ta colère après moi s’est dissipée et qu’il te reste tout de même assez de hargne pour te demander : pourquoi ?

C’est vrai, pourquoi nous ? Pourquoi tout cacher ? Pourquoi censurer ? Pourquoi ces injections ? Pourquoi avoir passé le décret sur l’administration du Rivotril à nos séniors infectés dans les maisons de retraite ? Pourquoi vouloir piquer tout le monde coûte que coûte ? Pourquoi maintenant ?

La réponse est peut-être dans le prochain chapitre, si tu souhaites toujours tirer le fil rouge avec moi…  

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A propos de l'auteur

Matthieu Biasotto

Auteur indépendant toulousain, rêveur compulsif et accro au café. J'écris du thriller, du suspense avec une touche existentielle.

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