La Pelote de Laine Chapitre 7

L

Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons.

Lénine

Je ne pouvais pas faire autrement, ni m’y prendre d’une autre façon, et j’espère que tu le comprends maintenant. Il me fallait tirer lentement les premiers bouts de laine, c’était nécessaire à ta compréhension de la situation. Je devais déblayer le terrain, car pour saisir pleinement le Covid et la crise qui a provoqué le basculement du monde, il faut y voir clair quant aux fonds d’investissement qui ramassent l’oseille en toute circonstance, les fondations qui corrompent les nations, les gouvernements compromis, les laboratoires en collusion totale avec nos plus grands dirigeants. Sans oublier les milliardaires qui ont une vision très particulière de l’humanité.

J’espère que tout comme moi, tu vas voir sous tes yeux toutes les pièces du puzzle enfin s’emboiter pour donner du sens à ce que nous avons vécu et dessiner une porte de sortie lumineuse. Mais avant de plonger la tête la première dans les basfonds du coronavirus, je vais te demander une autre tasse de thé, le temps que je te parle de la Charte de Biderman.

Aussi appelée principes de Biderman, il s’agit d’un tableau élaboré par le sociologue Albert Biderman qui rassemble les outils universels de torture psychologique et de coercition. Charmant.

Quel rapport avec le Covid ? Pourquoi je te parle de ça maintenant ?  

Mets de l’eau à bouillir, je t’explique tout de suite. Birderman est un spécialiste de l’US Air Force chargé de décrypter les raisons expliquant pourquoi de nombreux soldats américains capturés pendant la guerre de Corée coopéraient. Après s’être penché sur le sujet, il en a tiré 3 grands axes de réponse : la dépendance, la débilité et la terreur. Et pour parvenir à faire plier quelqu’un, il y a donc une méthode universelle, un truc qui marche à tous les coups et qui s’appuie sur 8 points.

  • Isoler la victime : priver la personne des soutiens et liens sociaux qui lui donneraient la capacité de résister. Développer chez la victime une inquiétude intense à propos d’elle-même. Rendre la victime dépendante de l’autorité.
  • Monopoliser la perception : fixer l’attention de la victime sur une situation difficile et urgente, forcer son introspection. Éliminer les informations pouvant contredire celles de l’autorité. Punir toutes les actions d’insoumission.
  • Induire l’épuisement : affaiblir la volonté de résistance, qu’elle soit physique ou mentale.
  • Présenter des menaces : cultiver l’anxiété, le stress et le désespoir.
  • Montrer des indulgences occasionnelles : procurer une motivation à respecter les ordres, à obéir, et à se soumettre. Empêcher ainsi l’accoutumance aux privations imposées.
  • Démontrer la toute-puissance du pouvoir : suggérer l’inutilité et la futilité de la résistance à l’autorité.
  • Dégrader la victime : faire apparaître le prix de sa résistance comme plus dommageable que sa capitulation pour l’estime de soi. Réduire la victime au niveau de la survie animale.
  • Exiger des actions stupides et insensées : développer les habitudes de soumission à l’autorité, même pour des ordres totalement stupides, inutiles et infondés. Briser le libre arbitre et les capacités de jugement de la victime.

Toute ressemblance avec des situations et des personnes connues n’est évidemment pas fortuite. Ce n’est pas une pure coïncidence, c’est de la science, de la sociologie, tout simplement. Et le temps que mon thé infuse, je reprends point par point l’art de la torture psychologique appliqué en situation réelle.

Isoler la victime par un confinement généralisé n’est rien d’autre que la première condition sine qua none du processus. On te coupe de ta famille et de tes amis en laissant planer le doute quant à un virus que tu pourrais contracter, ou porter de manière asymptomatique. L’université John Hopkins a même mené une étude prouvant par A plus B que le confinement n’avait aucun fondement scientifique, bref il n’a servi à rien. Afin de te rendre dépendant de l’autorité, l’État a mis sur pied le chômage partiel, une aide exceptionnelle ou encore les prêts garantis par l’État.

Pour monopoliser ton attention comme dans le deuxième point, quoi de mieux que des médias TV corrompus par la finance pour que tu sois focalisé sur une situation difficile et urgente, et ce, du matin au soir ? L’individu isolé et confiné n’a rien d’autre à faire qu’à passer des heures devant les écrans, dans l’illusion de s’informer. En réalité, pour écouter le récit qu’on a décidé de lui servir. Histoire d’éliminer les informations pouvant contredire celles de l’autorité, nous avons bien entendu le fact-checking. Et histoire de punir toutes les actions d’insoumission, la police avait pour ordre de contrôler la population et de distribuer les amendes pour infraction au confinement.

En ce qui concerne le 3e élément du conditionnement, on t’a forcé à rester à la maison pendant que tous les médias t’envoyaient des signaux négatifs. Tu as subi la mise en place d’une attestation de sortie aussi humiliante que délirante (tu noteras que le gouvernement ne l’a toujours pas retirée de son site, on ne sait jamais, ça peut toujours servir). On t’a interdit de te sociabiliser ou de faire de l’exercice, des fois que tu pourrais trouver un moyen de t’épanouir durant le processus.

Pour la quatrième règle, le gouvernement a menacé de fermer les entreprises, tout en redoutant de voir l’économie défaillir. Mais il a aussi menacé de contraventions, 135 €, on s’en souvient tous, et de rallonger le confinement à cause des méchants citoyens qui ne jouent pas le jeu. Puis, pour cultiver l’anxiété, quoi de mieux que d’employer le mot « guerre » à 6 reprises dans un discours présidentiel, ainsi qu’un décompte morbide tous les soirs ou qu’une mine sinistre de nos chers ministres expliquant qu’il n’existe aucun traitement disponible ?

En ce qui concerne le point cinq du processus, on a tous en tête le sentiment de soulagement au premier déconfinement et l’illusion d’un « retour aux jours heureux »… À 11 reprises, le gouvernement nous a promis le bout du tunnel, entre deux couvre-feux.

Pour cocher la case du prérequis numéro six, le gouvernement a montré les muscles, il a proclamé l’état d’urgence sanitaire, fait appel à une pluie de décrets, renforcé les contrôles des attestations débiles, et nous a sorti le fameux « quoi qu’il en coûte » pour se poster en grand protecteur du peuple.

L’État français (et tout l’Occident) a excellé à propos du 7e point. Pour te dégrader et t’humilier, ils t’ont fait porter le masque puis ils t’ont culpabilisé si tu remettais en doute son utilité. On a durci le ton avec les amendes en alourdissant la note si tu avais le malheur de résister. On a parqué les gamins dans des zones dessinées à la craie dans les cours de récré. Ils t’ont obligé à faire la queue en respectant les marquages au sol, comme du bétail, à suivre le parcours fléché censé nous épargner les vagues de contamination qu’on a repris en pleine poire, ou à te désinfecter toutes les 5 minutes pour te rappeler à quel point tu n’étais qu’un sac à microbes. Une « bombe » à retardement.

Mais là où nous avons tutoyé la perfection, c’est en qui concerne le point 8. Exiger des actions stupides et insensées, c’est à croire que l’Élite mondiale est née pour ça. Je te laisse un petit florilège de mesures qui m’en bouchent encore un coin. Les membres d’une même famille qui devaient rester séparés, repas dans la chambre pour le conjoint infecté. La règle des 6 convives à table, test à J0, J+2, +4 (+6 ?), port du masque à la maison, même lors des relations sexuelles. Des jauges dans les lieux publics à 2, à 10, à 1 000, si bien qu’on se ne sait même plus ce qui est autorisé ou non. Le plan débile des rues de Paris masquées, boire ton café assis ou debout en fonction de la gravité de l’épidémie ou encore l’interdiction de grignoter dans le train : autant de mesures absurdes pour lutter contre le virus. Pour sauver des vies, on a quand même fermé les rayons livres dans les grandes surfaces, ne l’oublie pas. Et mon préféré pour finir… Il y a eu l’interdiction de s’assoir sur le sable des plages dynamiques.

Ah ! les plages dynamiques… il fallait quand même oser, mais c’est passé comme une lettre à la poste parce que nous étions, toi et moi, sous l’emprise de la peur. Totalement victimes d’une grande manipulation aussi énorme qu’impensable et qui a commencé sans aucun doute bien avant octobre 2019 à Wuhan…

Retour sur les origines du mal…

Avant d’entrer dans le vif du sujet, je prends une gorgée de mon thé qui refroidit, mine de rien, puis je t’emmène en 1992 à Barcelone pour te parler d’un truc qui m’a interpelé. Il s’agit plus précisément de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’été. Je te plante le contexte, le stade est plein à craquer, le monde est en pleine mutation : chute du mur de Berlin, dissolution de l’URSS, création de nouveaux pays et bientôt la fin de l’apartheid en Afrique du Sud. Un message d’espoir est à diffuser aux quatre coins du globe, mais ce n’est peut-être pas le seul message qui va être envoyé.

Au milieu de la ferveur des Catalans, retransmis sur toutes les télévisions du monde, les « tableaux » défilent avec des couleurs chatoyantes, mais tu peux voir un droïde fendant fièrement l’espace, ce cyborg doré monte alors sur scène, et c’est sans doute, même si nous sommes en 1992 (et que les bots Optimus produits en 2023 par Tesla ne sont même pas à l’état embryonnaire), le symbole de la marche du progrès.

Tu es en droit de me rétorquer qu’il s’agit là simplement d’un choix artistique. Ok, ça se défend, mais que penser du virus à la représentation troublante qui évolue sur la vidéo ? Que fait un virus menaçant au beau milieu de la cérémonie d’ouverture, en 1992, et quel est le sens de la horde de « vaccins » qui arrivent tout de suite après ? Quelques secondes plus tard se forme une hydre ondulant d’une manière inquiétante et je te demande de noter cette information sur autre Post-It mental.

Bref, je m’égare et s’il y a bien un thème sur lequel il ne faut pas divaguer tant il y a d’informations, c’est le Covid. Aussi, sous peine d’être pris pour un vulgaire complotiste illuminé du dimanche, je termine de siroter ma tasse avant de rattraper le plus sérieusement du monde notre petit fil de laine rouge et je te promets de dresser une chronologie lumineuse en m’en tenant aux faits, rien qu’aux faits.

Je remercie chaleureusement Philipe Aimar, grand reporter qui ne me lira sans doute jamais, pour son ouvrage m’ayant permis d’établir la base d’un historique que j’ai pu largement enrichir et compléter au fil de mes recherches.  

Le 31 janvier 2012, L’Union européenne publie une bande dessinée : Infected. Une BD qui prévoyait une pandémie avec, dans le rôle des sauveurs, les mondialistes par le biais d’un vaccin pour toute la planète. L’histoire présente la transmission d’un nouveau virus d’animaux à humains dans un « marché humide » bondé.

Nous sommes le 15 décembre 2017 dans le quartier chic de North York à Toronto, les gyrophares rouges et bleus s’invitent au cœur d’une superbe propriété estimée à 7 millions de dollars. La police dresse un périmètre de sécurité autour de deux corps suspendus à la balustrade surplombant la piscine se situant au sous-sol du manoir. Il s’agit du couple milliardaire Barry et Honey Sherman.

Non content d’être la 12e fortune du Canada selon Forbes, le couple est propriétaire du grand laboratoire canadien Apotex, évalué à 10 milliards de dollars. Détenteurs de nombreux brevets, Barry et Honey Sherman étaient surtout l’un des principaux fabricants d’hydroxychloroquine.

Apotex était en pleine bataille juridique contre d’autres laboratoires pharmaceutiques au moment de la mort des deux septuagénaires. Barry irritait le secteur pharmaceutique, si on en croit les 60 millions de dollars qu’il dépensait en frais de juristes et avocats chaque année. Et un des procès ayant fait du bruit dans le milieu est celui l’opposant à Sanofi-Aventis.

Mais alors que la police tarde à avancer sur l’enquête, requalifiant la cause de la mort de suicide en double meurtre, on se demande si le brevet d’Apotex sur l’hydroxychloroquine a coûté la vie aux Sherman.

En parlant de propriété intellectuelle, toujours en 2017, le laboratoire Moderna, une société alors inconnue du public dépose un brevet US-9587003-B2 qui passe inaperçu à l’époque. Mais il se trouve que récemment, ce brevet attire l’attention d’Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherche à l’Inserm, généticienne, spécialiste de l’épigénétique et de l’ARN.

En s’appuyant sur une étude scientifique internationale parue dans Frontiers in Virology, Alexandra dévoile au micro du magazine Nexus que la séquence ID11652 brevetée par Moderna en 2017 correspondrait précisément à la séquence PRRA qui se trouve dans l’ARN du SARS-CoV-2.

Cette information pour le moins troublante est reprise par le Daily Mail confirmant que le Covid aurait pu être bricolé en laboratoire. En effet, les chercheurs de l’étude estiment qu’il y a une chance sur 3 billions pour que la séquence brevetée bien avant la pandémie par Moderna se retrouve par hasard dans le virus. On a largement dépassé le stade de la coïncidence.

Interrogé à ce sujet sur la chaine Fox News, Stéphane Bancel, le P.-D.G. de Moderna répond en étant plus ou moins à l’aise : « Mes scientifiques sont en train de regarder ces informations pour voir si elles sont justes ou pas. Comme je l’ai dit précédemment, l’hypothèse d’une fuite d’un laboratoire par accident est possible, l’erreur est humaine… »

Et depuis, plus aucun média grand public n’en parle, on attend toujours qu’une horde de fact-checkeurs biberonnés par Facebook et Google plante le glaive de l’absolue vérité dans cet épineux sujet. Une chance qu’on soit là, tous les deux, pour continuer à tirer sur le fil rouge de notre pelote.

Car on sait que dès 2018, la Commission européenne réfléchit à un passeport vaccinal. Et cette réflexion ne date pas d’hier, à tel point que l’Europe dispose à l’été 2018 d’une feuille de route officielle concernant la vaccination de tous les citoyens. Bien qu’il soit en anglais, le document est assez limpide pour que tu comprennes que l’agenda de la Commission colle étrangement avec l’actualité.

2108, toujours l’Union européenne dresse un état des lieux dans un document officiel d’après un sondage concernant la confiance de la population européenne au sujet de la vaccination. Une anticipation pour le moins troublante…

Mais ce n’est rien du tout par rapport à l’étrange préparation dont a fait preuve le gouvernement américain en 2019. Je te replace le contexte : le monde entier entend parler d’un nouveau « coronavirus » seulement à partir de début janvier 2020 et l’OMS renomme cette pneumonie d’un nouveau genre venant de Wuhan en « Covid-19 » le 11 février 2020, jusque-là tu es d’accord ?

Eh bien, il se trouve que le Département américain de la Défense (DoD) a attribué un contrat le 12 novembre 2019 à Labyrinth Global Health INC. pour la « recherche COVID-19 ». Si mes calculs sont bons, au moins un mois avant l’émergence présumée du nouveau coronavirus, et trois mois avant qu’il ne soit officiellement surnommé Covid-19.

C’est choquant, mais ce n’est que le début, car ce contrat pour la « recherche COVID-19 » faisait en fait partie d’un contrat beaucoup plus vaste pour un « programme de réduction des menaces biologiques en Ukraine » Oui, en Ukraine, je le répète.

Sur le site du gouvernement américain se trouve la liste de toutes les subventions affectées en réponse à la crise du Covid-19. Dont une fameuse attribution qui commence à soulever bien des questions. Le bénéficiaire de ce bon de livraison n’est autre que la société américaine BLACK & VEATCH SPECIAL PROJECTS CORP qui détient une branche ukrainienne. Une branche qui se voit donc subventionnée pour des contrats dès 2008 relatifs à la réduction des menaces biologiques en Ukraine par le financement de la DTRA (Defense Threat Reduction Agency) américaine.

Pourquoi le ministère de la Défense a-t-il payé une entreprise prétendument « une société mondiale d’ingénierie, d’approvisionnement, de conseil et de construction spécialisée dans le développement d’infrastructures », pour l’aider à mettre en œuvre un « programme de réduction des menaces biologiques en Ukraine » ?

Et pourquoi le DoD ainsi que ladite société ont-ils ensuite payé Labyrinth Global Health INC. pour mener des recherches sur le COVID-19 en Ukraine au moins un mois avant l’émergence présumée du nouveau coronavirus, et trois mois avant qu’il ne soit officiellement surnommé Covid-19 ?

Des questions qui donnent le vertige.

Pour y répondre, il faut se pencher sur Labyrinth Global Health. Petite entreprise fondée en 2017 et « détenue par des femmes avec une expertise approfondie et une expérience éprouvée dans le soutien d’initiatives pour le progrès scientifique et médical ». La société se dit « multiculturelle et internationale avec des bureaux dans quatre pays et une équipe d’experts aux parcours et compétences variés, y compris la microbiologie, la virologie, la santé mondiale, les soins infirmiers en matière de maladies infectieuses émergentes, l’anthropologie médicale, l’épidémiologie de terrain, la recherche clinique et les systèmes d’information sur la santé. » 

Et parmi les 4 bureaux dont l’organisation dispose, l’un d’eux se trouve à Kiev, « une porte d’entrée vers l’Europe de l’Est » comme tu peux le lire sur leur site. Intéressant, mais ce qui devient vraiment passionnant, c’est le parcours de l’équipe de direction.

Karen Saylors, la directrice, aurait travaillé dans le domaine de la santé publique internationale pendant plus d’une décennie. Elle a passé de nombreuses années à vivre en Afrique à établir des réseaux de surveillance mondiaux, « travaillant avec des partenaires pour améliorer la politique de santé mondiale sur les maladies infectieuses ». Mais avant d’être cofondatrice de Labyrinth Global Health, elle occupait le poste de « V.-P. Field Research » pour le compte de l’entreprise Metabiota.

V.-P. Field Research, ça veut dire quoi ?

C’est Vice-Présidente pour la recherche sur le terrain. Notre Karen, ce n’est pas n’importe qui, MAIS SURTOUT Metabiota, ce n’est pas n’importe quelle entreprise.  

Non, car vois-tu, Metabiota est une société de suivi des maladies financée par Hunter Biden, le fils du vieux Joe, accessoirement président des États-Unis. Hunter, par le biais de son entreprise, Rosemont Seneca Technology Partners a versé 30 millions de dollars à Metabiota pour « protéger le monde contre la propagation des épidémies » (c’est en page 5 du PDF).

Et accroche-toi bien, parce que tout ça devient une histoire en cascade avec de multiples tiroirs. Un an avant que Hunter Biden ne verse cet argent, Metabiota s’est associée à EcoHealth Alliance (EHA), une ONG financée à hauteur de 39 millions de dollars par le Pentagone et qui a elle-même transféré de l’argent à l’Institut de virologie de Wuhan.

On ouvre le tiroir, pour découvrir qu’à la tête de l’ONG EcoHealth Alliance, tu as Peter Daszak. Lors d’un forum en 2016 consacré aux « maladies infectieuses émergentes et à la prochaine pandémie », Peter a déclaré ceci :

« Nous avons trouvé d’autres coronavirus chez les chauvesouris, toute une série, dont certains ressemblaient beaucoup au SRAS. Nous avons donc séquencé la protéine Spike : la protéine qui s’attache aux cellules. Puis nous… Ce n’est pas moi qui ai fait ce travail, mais mes collègues en Chine. Vous créez des pseudo particules, vous insérez les protéines Spike de ces virus, vous voyez si elles se fixent aux cellules humaines. À chaque étape, on se rapproche de plus en plus de ce virus qui pourrait vraiment devenir pathogène pour l’homme. On se retrouve avec un petit nombre de virus qui ressemblent vraiment à des tueurs. »

Pure coïncidence… Peter a collaboré avec le docteur Shi Zhengli du laboratoire P4 de Wuhan pour des recherches sur le coronavirus de chauvesouris, et ce, dans le cadre de la subvention de recherche soutenue par le NIH à EcoHealth Alliance. Le NIH, c’est-à-dire, le National Institutes of Health, est l’un des 27 instituts qui composent le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), dont le directeur n’est autre que… Anthony Fauci, le conseiller Santé de la Maison-Blanche.

Je m’occuperai de Peter Daszak et de la Dre Shi Zhengli dans le prochain chapitre. Je n’ouvre pas tout de suite le tiroir d’Anthony Fauci et les 3 000 pages d’e-mails qui en disent long tant sur son comportement suspect que sa compromission, pour me rabattre sur le tiroir de Metabiota.

Le fondateur de Metabiota, surnommé « le chasseur de virus » est Nathan Wolfe qui siège également au conseil d’administration de l’EcoHealth Alliance (donc avec Peter Daszak, si tu as du mal à suivre). Nathan Wolfe est un young leader du World Economic Forum – de notre charmant Klaus Schwab – qui a décidé de s’associer naturellement avec EcoHealth Alliance, comme je viens de te l’expliquer, mais aussi avec notre Dre Karen Saylors dans le cadre du projet PREDICT de l’USAID.

Lancé en 2009 et financé par l’USAID, PREDICT était un système d’alerte précoce pour les maladies nouvelles et émergentes dans 21 pays. Outre PREDICT, il existe de nombreux rapports où tu retrouves la collaboration entre les trois organisations.

Et histoire de boucler la boucle, il se trouve que Metabiota et Black & Veatch Special Projects Corp partageaient même un bureau situé au cœur de Kyiv. Metabiota rend d’ailleurs publique sa relation avec Black & Veatch Special Projects en 2018. Dès 2015, un article d’Infowars intitulé « Pourquoi le Pentagone a-t-il besoin de laboratoires en Ukraine ? » évoque l’implication de Black & Veatch dans les biolabs.

C’est à présent un fait, les laboratoires biologiques exploités dans le cadre du programme de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) du Pentagone de 2008 à 2017 ont été construits et exploités en Ukraine par Black & Veatch après des travaux estimés à 215,6 millions de dollars.

Mais laissons l’Ukraine ainsi que les biolabs de côté pour refermer tous ces vilains tiroirs et nous concentrer sur le Covid-19 un instant. Je te confie le fil rouge et je te demande de tirer délicatement, c’est très important pour la suite.

Car il faut que tu saches que l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et Moderna avaient un candidat vaccin pour le coronavirus en décembre 2019. Oui, un accord confidentiel dont je te laisse le lien, stipulant que, le 12 décembre 2019, les fournisseurs Moderna aux côtés du NIAID ont accepté de transférer les « candidats vaccins contre le coronavirus à ARN-m » développés et détenus conjointement par le NIAID et Moderna aux destinataires… À savoir, l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill.

Comme le rapporte l’excellent article de The Exposé, toutes les signatures du contrat ont été faites avant toute connaissance de l’émergence présumée du nouveau coronavirus. Ce n’est que le 31 décembre 2019 que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a eu vent d’un groupe présumé de cas de pneumonie virale à Wuhan, en Chine. Mais, même à ce stade, ils n’avaient pas déterminé qu’un nouveau coronavirus présumé en était le coupable, déclarant plutôt que la pneumonie était de « cause inconnue ».

Avec ce sentiment étrange que tout était sous nos yeux et que nous n’avons rien vu, car nous étions terrifiés, on vient de démêler mine de rien un gros nœud de laine. Et je te laisse prendre une profonde inspiration, parce qu’il va falloir continuer à tirer sur le fil rouge, ce n’est que le début…

Merci d’avoir pris le temps de tirer sur le fil. N’hésite pas à me laisser un commentaire le long de ta lecture, ça me fera le plus grand plaisir. 🙏😘

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A propos de l'auteur

Matthieu Biasotto

Auteur indépendant toulousain, rêveur compulsif et accro au café. J'écris du thriller, du suspense avec une touche existentielle.

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