Si le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend les escaliers : elle met plus de temps, mais finit toujours par arriver.
Au milieu des fils qu’on tire patiemment tous les deux, face à une pelote de moins en moins grosse, on a découvert ensemble des liens étranges entre le département de la Défense américaine, l’Ukraine et Wuhan, ainsi que des dates qui font arquer les sourcils. Mais si tu pinces délicatement entre le pouce et l’index le morceau de laine que je te tends, tu vas voir que la somme des éléments troublants va nous en apprendre beaucoup sur ce fameux coronavirus.
À commencer par le 19 juillet 2019, lorsque la société Famar Lyon à Saint-Genis-Laval est mise en faillite par le fonds américain Kohlberg Kravis Roberts & Co, ou « KKR » pour les intimes (comme Xavier Niel de Free qui est entré au conseil en 2018). Implantée près de Lyon et sous-traitante des laboratoires Sanofi et Merck, Famar voit sa liquidation organisée par le hedge-founds qui a des relations économiques étroites avec Pfizer. Et pour cause, le fabricant du vaccin anti-Covid-19 cède sa filiale Capsugel pour un montant de 1,7 milliard d’euros à KKR. Pourquoi je te parle de Famar ? Parce que même si la société a été redressée depuis, elle était la dernière usine française à fabriquer des pilules de chloroquine.
Tandis que ton esprit fait le lien avec la disparition étrange du couple Sherman, lui aussi fabricant d’hydroxychloroquine, je t’invite à tirer davantage sur la laine pour faire ressortir un évènement troublant au Congo le 16 avril 2019. À savoir, la mort d’un épidémiologiste camerounais. Le Dr Richard Valery Mouzoko Kiboung travaillait pour le programme Ebola de l’OMS, il a été tué dans des conditions étranges. En pleine réunion de service au sein de l’hôpital universitaire de Butembo, une bande armée a fait irruption dans le bâtiment pour entrer dans la salle de réunion et ne tuer que ce médecin. Le directeur général de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus s’est même rendu aux obsèques du docteur. N’y vois là qu’une pure coïncidence.
Coïncidence aussi, le 8 octobre 2019, notre chère Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé, demande à l’ANSM (l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament) de saisir l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire pour classer la chloroquine dans la catégorie des « produits vénéneux ». N’en déplaise aux cellules de fact-checking qui hurlent alors au complotisme, on parle quand même d’un médicament sur lequel la médecine a 80 ans de recul et qui est à l’époque en vente libre partout dans le monde.
Si tu peux enrouler la laine sur différents doigts, ça m’arrange, car j’ouvre une parenthèse sur la chronologie accélérée de notre Agnès Buzyn nationale, et je vais commencer par son mari.
Yves Lévy est à l’époque le patron sortant de l’Inserm, institut qui a retiré les subventions de l’IHU de Marseille de notre célèbre Professeur Raoult. Le fact-checking fait feu de tout bois pour crier au complotisme, mais c’est arrivé, peu importe les nuances apportées par la pensée unique des médias. Tout comme Yves Lévy a bel et bien préparé un discours d’inauguration pour le fameux laboratoire P4 à Wuhan. Quant à Agnès, avec des larmes que je te laisse le soin d’interpréter, elle quitte le ministère de la Santé le 16 février 2020 pour tenter de croquer la mairie de Paris aux élections municipales, sous les couleurs de LREM. C’est un flop lamentable, mais on retiendra surtout ses regrets sur la situation sanitaire qui ont fait scandale.
« Quand j’ai quitté le ministère, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. »
Déclaration troublante, elle affirme avoir prévenu E. Macron, le 11 janvier 2020, et le 30 janvier Édouard Philippe en ce qui concerne le risque d’une crise sanitaire majeure. Mais après un petit coup d’indignation du gouvernement aux micros des chaînes infos, les choses se tassent pour Agnès Buzyn, qui peut rejoindre en janvier 2021 l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sans être inquiétée. Au moins pour un temps, car en septembre 2021, Agnès Buzyn est mise en examen pour « mise en danger de la vie d’autrui », une chance que la justice fasse bien son travail dans notre pays, comme ça notre Agnès, elle, peut recevoir tout début 2022 une jolie Légion d’honneur.
Désolé, tu as du fil rouge plein les doigts, on laisse cette parenthèse de côté pour se remettre à démêler notre pelote.
Pour en revenir à cette mystérieuse histoire de classification d’hydroxychloroquine, le 12 novembre 2019, dans la foulée, l’ANSES rend son avis et donne son accord visant à interdire la chloroquine en vente libre pardon, pour que la chloroquine soit délivrée sur ordonnance d’un médecin. Le 13 janvier, le Journal Officiel déclare que la chloroquine est une substance vénéneuse, déclaration validée par Jérôme Salomon. C’est plié.
Continuons notre petit tour du monde des disparitions étranges…
Pourtant en pleine santé, le 23 janvier 2020, le Dr Peter Salama meurt d’une crise cardiaque à l’âge de 51 ans. Cet épidémiologiste australien et diplômé de Harvard avait occupé différents postes à Médecins Sans Frontière, à l’UNICEF pendant 14 ans avant d’œuvrer au sein de l’OMS à partir de 2016. Il était un collègue du docteur Richard Valery Mouzoko Kiboung (l’autre médecin tué en Afrique). Le Dr Salama a fait une grande carrière, c’était un homme apprécié, connu pour son travail en Asie et pour ses réponses aux épidémies Ebola en Afrique. Mais ce qui est plus confidentiel, c’est qu’il était membre du service de renseignement spécialisé dans les virus de l’Epidemic Intelligence Service rattaché au Center for Disease Control & Prevention (le CDC).
Parlons maintenant du Dr Francis (Frank) Plummer. Spécialiste mondial des maladies infectieuses, ce médecin canadien travaillait sur un vaccin pour traiter le VIH/SIDA, il a contribué dans la lutte contre le SRAS et avait dirigé le seul laboratoire P4 du Canada. Un laboratoire ayant subi un vol du virus Ebola en 2009 puis en 2014 et une dernière fois en 2019. D’un profil « non-conformiste », le Dr Francis Plummer serait mort d’une crise cardiaque durant des vacances en famille au Kenya. Un de ses collègues, le Dr Allan Ronald affirme que la mort du médecin est une perte tragique pour la science :
« Il était persuadé d’être en voie de trouver un vaccin contre le VIH, un chemin sur lequel il s’est lancé il y a près de 30 ans. »
Changement d’ambiance et de pays. Le 30 décembre 2019, le Dr Li Wenliang envoie un message à ses amis et confrères via WeChat, le réseau social chinois, pour sonner l’alerte quant à un virus ressemblant étrangement au SRAS. L’Ophtalmologiste à l’Hôpital Central de Wuhan voit son message devenir viral et rend l’épidémie de coronavirus publique. Très vite, la direction de l’hôpital intime à toutes les équipes de ne pas diffuser de fausses rumeurs. Ses supérieurs sanctionnent le Dr Li Wenliang, le 3 janvier 2020, la police locale le convoque pour signer une lettre reconnaissant que le médecin faisait de faux commentaires et qu’il propageait de fausses rumeurs. Il décède dans la nuit du 6 au 7 février 2020 du Covid-19. Voici la lettre en question :
Après avoir contracté le coronavirus et s’être enregistré à l’hôpital pour se faire soigner, le Dr Li Wenliang continue à publier sur son compte Weibo et à dénoncer la désinformation.
« Je me demandais pourquoi les avis officiels [du gouvernement] disaient toujours qu’il n’y avait pas de transmission interhumaine et qu’il n’y avait pas de personnel de santé infecté. »
Le 28 janvier, la Cour populaire suprême de Chine condamne l’excès de zèle de la police locale, ainsi que les enquêtes des autorités de Wuhan sur des personnes comme ce médecin qui ont partagé des informations précoces sur le virus.
Le tribunal déclare donc par la suite que « Cela aurait pu être une chance pour contenir le nouveau coronavirus, si le public avait écouté cette “rumeur” à l’époque, et adopté des mesures telles que le port de masques, une désinfection stricte et éviter d’aller au marché de la faune. »
Pour rappel, dix jours avant la déclaration de la Cour suprême de Chine, soit le 18 janvier 2019, les autorités chinoises confirment le premier cas de coronavirus (elles rétropédaleront par la suite). Le 23 janvier 2020, Wuhan, la métropole du centre de la Chine est confinée à la veille du Nouvel An chinois.
Maintenant, et avant de reprendre la chronologie de nombreux évènements pour le moins troublants, je te laisse le fil rouge et je te demande de dérouler très lentement pendant que je te brosse le tableau d’une liste de choses qui se sont produites dans un laps de temps assez court et dont tu n’as pas forcément entendu parler. Alors qu’elles sont capitales si tu veux comprendre comment et pourquoi le monde entier s’en est remis aux tests PCR en guise d’outils de diagnostic en laboratoire pour endiguer la pandémie (= confiner, masquer, vacciner). Encore une fois, il n’y a pas de miracle. Et c’est le moment où je vais m’adonner à un exercice casse-gueule en tentant d’expliquer des trucs compliqués avec des mots simples.
*
- Le 3 janvier, le CDC Chinois identifie le génome du nouveau coronavirus.
- Le 4 janvier, la Chine développe son test TR-PCR spécifique à ce virus.
- Le 7 janvier 2020, ce virus appelé à l’époque « 2019-nCoV » est officiellement annoncé comme agent causal (= on trouve le coupable) par les autorités chinoises.
- Le 9 janvier, la Chine prévient l’OMS et souhaite mettre à disposition son test PCR. (l’OMS n’en fera rien, note bien)
- Le 10 janvier, une séquence du génome viral est publiée afin de la partager avec la communauté scientifique sur la plateforme virological.org (Séquence Wuhan-Hu-1, numéro d’accès GenBank MN908947).
- Le 11 janvier, les Chinois disposent d’un kit de détection RT-PCR commercial pour ce virus distribué à la province du Hubei.
Le 12 janvier, 4 autres génomes sont déposés dans la base de données de séquences virales organisée par la Global Initiative on Sharing Avian Influenza Data (GISAID). Bref pour les Chinois, l’heure est à la coopération, et les scientifiques du monde entier s’aperçoivent que les séquences du génome suggèrent la présence d’un virus étroitement proche des membres d’une espèce virale appelée « CoV » lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). La fameuse espèce comprend également un grand nombre de virus principalement détectés chez les rhinolophidés (chauve-souris) en Asie et en Europe.
Le 20 janvier, 282 cas chez l’homme sont confirmés en laboratoire et notifiés via un rapport à l’OMS. Des cas confirmés chez des voyageurs en provenance de Wuhan sont annoncés les 13 et 17 janvier en Thaïlande ainsi que le 15 janvier au Japon et le 19 janvier en Corée. L’étendue de la transmission interhumaine du virus n’est pas claire au moment où le chercheur Christian Drosten s’attèle à la rédaction d’un protocole de test PCR publié le 23 janvier 2020 sur Eurosurveillance (mais envoyé à l’OMS d’abord le 13 janvier puis une version modifiée le 17 janvier).
Protocole que l’OMS va tout de suite adopter.
Pourquoi l’OMS attend que Christian Drosten entre en scène pour sauter sur son protocole alors que la Chine livre ses éléments 5 jours avant ?
Déjà, on sait depuis quelques chapitres à quel point l’OMS est corrompue, et dire que son président est compromis serait un doux euphémisme. Mais ce n’est pas la seule raison. D’après les experts, le test RT-PCR chinois diffère de deux gènes par rapport à la méthode proposée par le biologiste préféré d’Angela Merkel, Christian Drosten. Pourtant ce test chinois fonctionnerait très bien, la question reste donc entière. Surtout que dans le même temps, un laboratoire slovène affirme le 17 janvier qu’après « une évaluation approfondie », il dispose d’un test Sars-Cov-2 basé sur LightMix et commercialisé par la société Roche pour TIB Molbiol.
Comment se fait-il que dès le 17 janvier, cette équipe slovène puisse avoir un kit commercial et sa jolie fiche technique basée sur le protocole de Christian Drosten ?
D’ailleurs, dans cette fiche Roche SAP no 09 155 368 001, si tu consultes les propriétés du document PDF depuis le lien que je t’ai donné, on se rend compte qu’elle a été produite par Olfert Landt, le directeur de TIB Molbiol le 15 janvier 2020.
Donc le kit commercial TIB Molbiol pour les plateformes Roche était prêt au plus tard le 15 janvier. Avant la version modifiée du protocole envoyée à l’OMS le 17 janvier (et adoptée aussitôt). Intéressant. Très intéressant…
Ce qui nous laisse un battement de 2 jours pour réaliser une « évaluation approfondie » dans le laboratoire slovène. 48 h pour une évaluation approfondie, pas besoin d’être scientifique pour comprendre que c’est court. Beaucoup trop court. Ce qui induit que le kit commercial devait être sur pied un peu plus tôt dans la chronologie. Quand exactement ? Ça reste un mystère, mais avant qu’il y ait une inquiétude internationale pour le coronavirus, c’est certain.
Maintenant, regardons de plus près le fameux protocole de notre Christian Drosten…
Entouré d’une équipe de scientifiques, Christian Drosten formule « une détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ». Partant du constat que dans les infections respiratoires aigües, la RT-PCR est couramment utilisée pour détecter les virus responsables à partir des sécrétions respiratoires, il se dit que c’est la bonne méthode et fournit un protocole RT-PCR (RT-qPCR pour être précis). Banco, la planète en a besoin, l’OMS corrompue fonce avec cette méthode, le protocole chinois, aux oubliettes.
Le RT q machin-chose, c’est quoi ?
Il s’agit d’une réaction en chaîne par polymérase quantitative à transcriptase inverse. Impossible de t’expliquer, je n’ai pas le cerveau qui va bien pour décrypter ça. En revanche, pour Ulrike Kämmerer, scientifique de la University Hospital of Würzburg, c’est limpide. C’est si limpide qu’elle dénonce dans une longue étude avec l’aide d’une équipe de 22 experts la méthode Drosten utilisée par le monde entier. Car selon Ulrike, le protocole en question souffre de 10 problèmes fatals. 10 coquilles d’une importance cruciale, mais je ne vais t’en citer que trois qui sont assez éloquentes :
- Le premier problème, c’est que ce nouveau coronavirus repose sur des séquences in silico (théoriques) fournies par un laboratoire en Chine. Parce qu’à l’époque, ni le matériel de contrôle du SARS-CoV-2 infectieux (« vivant ») ou inactivé, ni ARN génomique isolé du virus n’était disponible pour l’équipe Corman-Drosten. À ce jour aucune validation n’a été réalisée par la paternité sur la base de virus SARS-CoV-2 isolés ou de pleine longueur ARN de celui-ci. En clair = personne n’a la totalité du virus isolé.
Comment déployer un diagnostic fiable sans disposer de matériel viral réel (par exemple pour déterminer la charge virale infectieuse) ?
Eh bien, notre équipe entourant Drosten s’est basée sur un parent proche du Sars-Cov-2, le Sars-Cov-1. Mais tu conviendras qu’il est difficile d’avoir un diagnostic fiable et d’éviter de faux positifs quand tu n’as pas le quinté dans l’ordre.
De plus, Drosten est resté sur de la théorie in silico, sans basculer par la suite sur une validation in vitro (comme ça se fait apparemment partout) même des mois après la publication.
- La RT-PCR est une technologie biomoléculaire qui permet de détecter des fragments rares d’ARN connus à l’avance (Ben oui, sinon comment veux-tu qu’il les détecte ?). En gros, on prend un échantillon à analyser, on l’amplifie à l’aide d’amorces et de cycles réalisés à la bonne température. Si ce procédé est utilisé dans le monde entier, l’opération reste délicate, la technologie PCR est très sensible.
Idéalement, pour obtenir un résultat fiable dans ce cas de figure précis, il faut que le nombre de cycles d’amplification (appelé Ct) ne dépasse pas 35 et reste dans une fourchette comprise en 25-30 cycles. En Europe et aux USA, les personnes sont souvent testées avec un seuil supérieur à ces fameux 35 Ct. En France, à l’époque, la fourchette préconisée était entre 10 et 45 Ct (ce n’est plus une fourchette, mais un râteau), nous n’avions pas de consignes claires et il y a de grandes chances que cette approximation ait engendré une avalanche de faux positifs. Car ce qui est sûr, c’est qu’avec un Ct supérieur à 35, une personne testée positive a 97 % de chance d’être en réalité… un faux positif.
Le hic ? C’est que dans la fiche commerciale citée plus haut et se basant sur les travaux de notre Christian (dans une chronologie ahurissante, je te le rappelle), il est préconisé un Ct pouvant aller jusqu’à 39. Beaucoup trop élevé, tu l’auras compris.
- Et je crois qu’il s’agit là de l’argument le plus dévastateur de l’équipe d’Ulrike : « Le fait que ces produits de PCR n’aient pas été validés au niveau moléculaire est une autre erreur frappante du protocole, rendant tout test basé sur celui-ci inutile en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2. » K.-O. technique.
Outre le risque de contamination croisée qui achève la fiabilité déjà bien amochée de ce protocole, il y a différents facteurs qui le rendent vraiment difficile à mettre en œuvre sans risque d’erreur. Même si Ulrike Kämmerer nous l’explique clairement dans une vidéo, je t’épargne les conditions drastiques de laboratoire qu’il faut réunir pour effectuer le test sous peine d’obtenir un résultat ininterprétable. Ce qui ouvre la voie à une marge d’erreur phénoménale en condition réelle pour tester la population massivement.
On pourrait hurler de rage quand on pense à tout ce que le gouvernement nous a fait subir en s’appuyant sur un nombre de « cas positifs » issus de tests en grande partie frelatés, mais je vais plutôt m’attacher à un détail qui a son importance.
Notre ChriChri est membre du conseil consultatif de la cellule de crise sanitaire pour Angela Merkel. – c’est un peu notre Delfraissy à nous. Tu comprends mieux pourquoi l’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne, c’était plié dans un temps record. Et pour couronner le tout, il se trouve que ce cher monsieur Drosten ainsi que les fonctionnaires de l’Université Goethe de Francfort-sur-le-Main, où il affirme avoir obtenu son doctorat en médecine en 2003, sont accusés de fraude au diplôme. Aïe.
Si le fact-checking allemand nuance, voire dément, selon le Dr Markus Kühbacher, un spécialiste enquêtant sur la fraude scientifique telle que le plagiat de thèse, la thèse de doctorat du Dr Drosten devait être déposée à une certaine date auprès des autorités académiques de son université, qui signent ensuite un formulaire juridique appelé « Revisionschein ».
Cette signature authentique doit être accompagnée d’un cachet de l’Université et la date, avec le titre de la thèse et l’auteur, afin qu’elle soit envoyée aux archives de l’Université. Trois exemplaires originaux de la thèse devraient y être normalement consignés. De plus, sur les trois copies de dossier obligatoires de sa thèse de doctorat, deux copies auraient « disparu » et la copie unique restante serait endommagée par l’eau. C’est ballot…
Ce n’est pas comme si l’Allemagne de Merkel avait appliqué les conseils de Christian pour confiner, priver de liberté le peuple ou détruire l’économie de tout un pays sur la base de tests PCR totalement invraisemblables – et que d’autres pays ont scrupuleusement suivi le même modèle. À savoir, des tests effectués partout dans le monde sur l’impulsion d’une OMS aux mains de Bill Gates. Je te laisse en tirer les conclusions qui te conviennent et je continue de dérouler ma petite laine rouge.
*
Médecin, chercheur, professeur d’université et virologue, le Dr Bing Liu exerçait à l’université de Pittsburgh et travaillait sur le virus SRAS. D’après son entourage, il était à deux doigts d’une découverte capitale sur le Covid-19 quand il a été abattu de plusieurs balles en mai 2020. Hao Gu, son assassin a été retrouvé mort lui aussi d’une balle dans la tête. Étrange mode opératoire…
Étrange également, le timing concernant la mort de la Dre Gita Ramjee le 31 mars 2020. Elle était médecin, professeure émérite et chercheuse reconnue pour ses travaux sur les vaccinations ainsi que sur les HIV : une sommité, un modèle. Elle est morte du Covid-19 en déclinant très rapidement alors qu’elle devait prendre le micro lors d’une grande conférence initialement prévue à Boston, puis à Londres en visioconférence.
La trajectoire de la Dre Natalya Lebedeva est curieuse aussi, Directrice de la médecine d’urgence de l’unité médicosanitaire no 2 de la Cité des Étoiles, elle était impliquée dans le traitement du premier patient atteint de coronavirus sur le site de formation des cosmonautes russes. Dans l’article du New York Post, on peut lire que la Dre Natalya Lebedeva avait été injustement accusée de ne pas avoir réussi à arrêter une épidémie de COVID-19 au sein de la structure. Le 4 avril 2020, on l’a retrouvée défenestrée, après une chute du sixième étage de l’Agence fédérale biomédicale. Un suicide apparemment…
Le 21 avril, une voiture est attaquée au Myanmar. Le véhicule semblait transporter des échantillons de Covid-19 pour le compte de l’OMS et des Nations-Unies. Pyae Sone Win Maung, le chauffeur a été assassiné.
Une autre défenestration le 26 avril 2020, cette fois c’est la Dre Yelena Nepomnyashchaya. Et ça s’est passé alors qu’elle appelait ses supérieurs pour se plaindre du manque de matériel, d’équipement de protection individuelle (EPI). Cette médecin respectée était en conversation téléphonique avec le ministre de la Santé de la région de Krasnoïarsk, Boris Nemik, au moment de la chute. Une chute du 5e étage. Elle décède le 6 mai 2020.
Une troisième défenestration d’un médecin russe, l’urgentiste de l’hôpital de Voronech Alexander Shulepov, 37 ans, se plaint dans une vidéo de devoir continuer à travailler alors qu’il est infecté par le Covid-19. Lui et ses collègues ont également mis en garde contre les pénuries d’EPI dans la ville de Voronech. Suite à un interrogatoire de la police pour « diffusion de fausses nouvelles », il diffuse une seconde vidéo, sans doute sous la contrainte, dans laquelle il revient sur ses propos. Le lendemain, il saute par la fenêtre du 2e étage de l’hôpital. Il meurt le 4 mai 2020.
Plus à l’ouest, le ministre des Finances de la région allemande de Hesse, Thomas Schaefer, âgé de 54 ans, marié et père de deux enfants en bas âge, a été retrouvé mort le 6 mai 2020 près d’une voie de chemin de fer. Il était responsable depuis dix ans des finances de ce land où se trouve Francfort, le centre financier allemand, siège de la Banque centrale européenne et de grandes banques allemandes. Le parquet de Wiesbaden a indiqué privilégier l’hypothèse d’un suicide. Selon le Premier ministre de ce land allemand, Thomas Schaefer « était profondément inquiet ».
Quittons l’Allemagne pour les USA, après avoir occupé un haut poste pour le géant pharmaceutique Merck entre 2001 et 2004, écœurée d’avoir commercialisé du Vioxx, un analgésique qui doublait le risque d’accident vasculaire cérébral et de crise cardiaque et qui a finalement été retiré du marché… Brandy Vaughan quitte l’industrie de Big Pharma en dressant deux constats :
« À partir de cette expérience, j’ai réalisé que ce n’est pas parce que quelque chose est sur le marché qu’il est sûr. »
« Une grande partie de ce que nous dit l’industrie de la santé n’est tout simplement pas la vérité. »
Brandy a passé huit ans à vivre en Europe et à voir comment les soins de santé sont dispensés très différemment en dehors des États-Unis. Rentrant à la maison avec un petit garçon sans vaccin, elle a été victime d’intimidation dans le cabinet d’un pédiatre lorsqu’elle a posé des questions que tous les parents devraient se poser : que contiennent les vaccins ?
Elle devient par la suite la fondatrice de Learn The Risk (anciennement The Council for Vaccine Safety) qu’elle décrit comme : « Une organisation à but non lucratif basée aux États-Unis et une force puissante pour éduquer les gens DANS LE MONDE ENTIER sur les dangers des produits pharmaceutiques, y compris les vaccins et les traitements médicaux inutiles. »
Devenue une figure emblématique du mouvement anti-vaccination américain, le 7 décembre 2020, à 45 ans, elle est retrouvée morte dans sa maison à Santa Barbara par son fils âgé de 9 ans. La cause de sa mort est inconnue, ce qui la rend d’autant plus suspecte. Les autorités n’écartent pas un lien avec l’ancien employeur de Brandy.
Alexander Kagansky, éminent scientifique dont les travaux étaient régulièrement publiés dans les plus prestigieux journaux scientifiques du monde, travaillait sur le vaccin du Covid-19. Ce biologiste et généticien est un chercheur brillant, à la tête Centre Médical de Génomique et de Médecine régénérative de l’Université Fédérale de l’Est de Vladivostok (Russie). On l’a retrouvé mort le 19 décembre 2020 au pied d’un immeuble de Saint-Pétersbourg après une chute du 14e étage. La police s’est rendu compte qu’on l’avait poignardé avant sa chute.
Tu dois te dire que ça fait beaucoup de médecins qui se défenestrent en Russie, je m’interdis de faire le lien avec des méthodes utilisées à l’est pour les meurtres commandités et je continue de tirer sur la laine rouge pour t’emmener à Taïwan le lendemain de la mort du Dr Alexander Kagansky.
Le dimanche 20 décembre 2020 au matin, une usine explose d’un coup et sans raison. Enfin, sans raison… SCI-Pharmtech était la 2e plus grande usine au monde qui produisait les composants de l’hydroxychloroquine. Des débris de la chaîne de production ont été projetés à plus de 500 mètres, c’est dire la violence de l’explosion entraînant un incendie durant 48 h et l’arrêt brutal de la fabrication massive de l’hydroxychloroquine. Mais les équipes totalement neutres de l’AFP factuel l’assurent : aucun rapport entre l’incident et la molécule. Pourquoi nous viendrait-il une idée pareille ?
Et je termine cette farandole d’évènements pour le moins curieux, avec Andrew Brooks. Professeur de recherche à l’Université Rutgers, mais surtout l’inventeur du premier test Covid-19 via la salive, il décède à l’âge de 51 ans, le 23 janvier à Manhattan, d’une crise cardiaque. Le Dr Brooks avait fait l’actualité lorsque la FDA (Food and Drug Administration) a approuvé en urgence sa technique qui permettait des tests bien plus rapides et moins invasifs : « Au lieu d’avoir un écouvillon naso- ou oropharyngé placé dans votre nez ou au fond de votre gorge, vous n’avez qu’à cracher dans un tube. »
Alors qu’on se demande bien pourquoi cette « révolution » n’a pas été soutenue, approfondie, et importée dans nos pays, il est temps de contempler les fils rouges qu’on a doucement tirés, toi et moi. Des mètres de laine qui soulèvent un tas de questions :
Pourquoi autant de brillants médecins et de sommités au profil « non-conformiste » disparaissent ? Pourquoi tout ce qui touche de près ou de loin à l’hydroxychloroquine subit un coup du sort ? Pourquoi s’appuyer à l’échelle mondiale sur des tests RT-PCR peu fiables sans les remettre en question ? Pourquoi un tel battage médiatique pour un virus dont les ratios de létalité réelle calculés sur le site de l’OMS « se situaient entre 0,00 % et 0,31 % avec des médianes brutes et corrigées de 0,05 %[1] » ?
Mais surtout, que s’est-il vraiment passé à Wuhan en Chine, nom d’un pangolin ?
[1] Page effacée depuis, heureusement qu’il reste les archives.
Ravi que tu poses encore tes yeux sur mes lignes. Si le cœur t’en dit, tu peux m’aider en partageant La Pelote de Laine autour de toi et sur les réseaux sociaux. Plus il y a de monde à tirer sur le fil rouge, plus nous aurons de chances de notre côté. 👌💪
Bonjour
J’ai publie un article pour faire connaitre votre travail
https://lesmoutonsenrages.fr/2022/06/14/nous-sommes-en-guerre-pour-la-verite/#more-143203
Si vous pouviez me contacter par email ce serait bien
s1fdltd@gmail.com
Cordialement
Alain
Merci pour le partage, je te contacte par e-mail dès que j’ai terminé mes dédicaces de la journée.