Cette corruption rampante est là pour cacher au public des vérités scientifiques.
Pr Luc Montagnier, prix Nobel
J’aimerais tellement savoir ce que tu penses à cet instant précis. Car personnellement, à ce stade, quand j’ai démêlé tout seul la pelote pour la première fois, je me suis retrouvé dans un état étrange. À la fois sonné par une évidence qui hurlait au fond de moi et dépité par le nombre de victimes que nous aurions pu éviter en déroulant les fils rouges bien avant. Mais surtout, j’avais le besoin féroce d’aller au fond des choses, de comprendre le pourquoi et le comment.
J’espère ne pas t’avoir assommé d’une tonne d’informations, j’ai essayé de rendre mes nombreuses heures de recherche, de documentation et mes tonnes d’articles venant de lanceurs d’alerte, le plus digeste possible. Et je me suis dit que le meilleur moyen de ne pas nous perdre ensemble, c’était d’approcher, centimètre par centimètre, en tenant notre fil rouge, d’un faisceau d’indices qui nous pousse à considérer la crise sanitaire sous un autre angle.
Celui d’un évènement inévitable, pour ne pas dire programmé. Car, quelle que soit l’origine du virus, les gouvernements ont absolument tout mis en œuvre pour que le Covid-19 devienne une véritable plandémie.
Je veux dire par là qu’en tirant sur ce nouveau fil de laine, tu vas te rendre compte qu’on ne pouvait pas accumuler plus de mensonges, d’erreurs, de retards et de mauvais choix sanitaires en si peu de temps sans le faire exprès. Pour ne pas réveiller des souvenirs trop douloureux et encore frais, je ne vais pas entrer dans les méandres des traumatismes que nous avons subis. Je vais m’en tenir aux faits. Des faits qui démontrent une réalité objective. Car il apparaît que manifestement et délibérément, la gestion de la crise était catastrophique, quelle que soit la méthode : à la chinoise, à l’américaine, à la française.
À la chinoise.
À l’heure où je t’écris, selon les statistiques en temps réel pour la Chine, les chiffres sont étonnants : il y a eu 220 721 cas de contamination et 5 198 décès liés au coronavirus recensés dans le pays depuis le début de l’épidémie. Moins de 10 000 morts pour un territoire comptant 1,4 milliard d’habitants. Cette donnée nous indique deux choses, soit la Chine excelle dans la gestion de la crise, soit c’est un énorme mensonge. J’imagine que tu as ta petite idée sur la question, et je te demande de dérouler délicatement la pelote.
Outre les mesures spectaculaires comme le confinement drastique, la désinfection des rues ou des bus par rayons UV, le gouvernement chinois tenait peut-être à l’époque la recette miracle : masquer tout simplement le nombre de morts.
Revenons fin mars 2020, alors que les autorités lèvent un confinement de deux mois à Wuhan, les habitants sont de plus en plus sceptiques quant à l’exactitude du chiffre de quelque 2 500 décès dans la ville.
Et si les habitants de Wuhan ont l’impression d’être pris pour des benêts, c’est que le réel vient fracasser le discours officiel. Notamment la réalité des salons funéraires et des crématoriums. Il faut savoir que 7 salons funéraires desservent actuellement Wuhan, une immense agglomération de trois villes : Hankou, Wuchang et Hanyang.
Et les habitants ont remarqué que les incinérateurs ont fonctionné 24 h sur 24 depuis un petit moment. Les salons funéraires ont d’ailleurs informé les familles qu’ils feraient tout pour terminer les crémations avant le festival traditionnel d’entretien des tombes de Qing Ming le 5 avril. Ce qui indiquerait un processus de 12 jours commençant le 23 mars 2020. D’après le très sérieux média local caixin.com, 5 000 urnes funéraires ont été distribuées avant le festival Qing Ming au seul crématorium de Hankou, à Wuhan, soit le double du bilan officiel.
Voyant les files d’attente de plus de 200 mètres devant les salons funéraires, les familles endeuillées se sont mises à faire le calcul. Un peu de maths basées sur l’activité de crémation des salons funéraires, qui exploitent un total de 84 fours d’une capacité de 1 560 urnes sur 24 heures à l’échelle de la ville, en supposant qu’une crémation prend une heure.
Caixin estime donc à près de 35 000 le nombre d’urnes distribuées.
En réalité, après avoir discuté avec une de mes relectrices dont le mari travaille dans le domaine des salons funéraires, la crémation est plutôt estimée entre 70 et 90 minutes selon la corpulence (avec des fours européens). Le chiffre est donc à revoir à la baisse, mais tout de même…
Du coup, difficile d’imaginer à l’échelle du pays et sur toute la durée de la crise le nombre réel de victimes. Pas joli joli comme comportement de la part des autorités chinoises. Mais tu vas voir que nous n’avons rien à envier aux mensonges de Pékin, car dans ce domaine, les Occidentaux remportent de loin la palme de la manipulation – même si c’est dans un délire tout à fait différent…
À l’américaine.
Cette fois, je pose ma main sur la tienne afin de dérouler avec toi notre fil rouge. Car ce bout de laine nous mène à une vérité si criante qu’elle en est cruelle. Et cette vérité se cache derrière un seul homme. Un homme qui règne sur la santé américaine depuis plus de 50 ans et qui a déjà conseillé 6 présidents, 7 avec Biden. Un homme dont le pouvoir et les intérêts financiers dépassent tout ce que tu peux imaginer. Et cet homme, c’est Anthony Fauci.
Je n’avais qu’un an lorsqu’il est arrivé à la tête du NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases). Et déjà en novembre 1984, il était le fonctionnaire fédéral le mieux payé des USA avec un salaire annuel de 417 608 $ (en 2020), c’est même plus que le président US. D’ailleurs, le président ne peut pas le licencier. Fauci exerce un pouvoir total via les NIH, la Fondation Gates, le Wellcome Trust sur 57 % du financement mondial de la recherche biomédicale. Un pouvoir si immense que personne n’ose le contredire. Le Dr Anthony Fauci le sait, et d’ailleurs dans une interview du 9 juin 2021, il n’a pas peur de prendre la grosse tête « Les attaques dirigées contre moi sont vraiment des attaques contre la science ».
Cet homme incarne à lui tout seul la science, c’est dire la haute estime que cet homme a de lui-même.
En 1984, seuls 12,8 % des enfants étaient touchés par des allergies, des maladies auto-immunes ou chroniques. Depuis qu’il est à la tête du NIAID, ce taux a grimpé en flèche pour atteindre 54 % aujourd’hui. Les maladies de Crohn, de Graves, le diabète juvénile ou encore l’anaphylaxie étaient rarissimes avant son arrivée au pouvoir. En 1989, elles étaient déjà devenues fréquentes, tout comme la multiplication de l’autisme. Autre donnée éloquente, le QI des enfants américains a perdu 7 points depuis 2000, encore une mission accomplie pour l’homme qui incarne la science. Il y aurait tant à dire sur la carrière de ce type, ses renvois d’ascenseurs et ses conflits d’intérêts, que je te conseille de lire l’excellent livre de Robert F. Kennedy Jr[1] à ce sujet.
De mon côté, je vais tenter d’être le plus bref, le plus factuel et le plus efficace possible pour que tu cernes l’essence même de ce qui nous est arrivé. Histoire de bien comprendre le règne Fauci ainsi que le paradigme qu’il a su imposer, il y a un chiffre clé qui me semble éloquent :
69
C’est le nombre de doses que reçoit chaque bébé américain durant son parcours vaccinal classique jusqu’à l’âge adulte. Je t’invite à te poser un instant et à réfléchir sur ce que représentent 69 passages sous une aiguille. Ce nombre traduit une vision particulière de ce que doit être la santé, une culture de la piqûre en somme, mais aussi un enchevêtrement financier entre l’industrie pharmaceutique et les agences gouvernementales de santé.
Un exemple flagrant, c’est que les CDC détiennent 57 brevets de vaccins et consacrent près de 5 % de leur budget (qui pèse 12 milliards $) à l’achat et à la distribution de vaccins. Les NIH, les autres agences gouvernementales de santé possèdent des centaines de brevets de vaccin et tirent des profits de ces fameux vaccins qu’ils sont censés règlementer. Et cette incroyable collusion est possible grâce à de hauts fonctionnaires, comme notre cher Tony Fauci, qui touchent 150 000 $ annuels de royalties pour avoir aidé au développement et à l’homologation de ces produits. Cette répartition des redevances n’a rien d’illégal, elle est même inscrite dans la loi.
Rien d’illégal non plus dans le fait que 45 % du budget de la FDA provient de l’industrie pharmaceutique sous couvert de « frais d’utilisation ». Tu ajoutes à cela un partenariat de longue date entre Fauci et Bill Gates notamment par le prisme de Moderna et de l’OMS, tu as alors sous les yeux les grandes lignes qui posent le cadre dans lequel Fauci a pris des décisions aussi arbitraires qu’invraisemblables aux profits de Big Pharma et de son propre compte en banque.
À commencer par le confinement.
Mettre en quarantaine des personnes bien portantes, du jamais vu dans l’histoire de la médecine, est un choix assumé par le Dr Fauci. Et derrière l’expression tristement célèbre « aplanir la courbe », se cache une réalité qu’il faut regarder en face. 300 millions d’êtres humains ont sombré dans la pauvreté par ce choix. Les retards sur les programmes de santé, les tensions sur les chaines d’approvisionnement alimentaires ont accentué la famine et alourdi la facture. 10 000 enfants par mois sont morts de faim à cause du virus et des blocages mondiaux, 500 000 enfants par mois souffriront de malnutrition et de retard de croissance (en plus des 47 millions déjà dans cette situation).
Le confinement c’est aussi 50 % d’augmentation des suicides chez les enfants et 37 % de séjour aux urgences pour tentative de suicide concernant la tranche des 12-25 ans. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est l’université d’État de l’Ohio. Le choix d’enfermer tout le monde a entraîné 11 % d’intention suicidaire chez les adultes américains et une hausse de 31 % des admissions des adolescents pour des problèmes de santé mentale. Sans parler de l’angoisse terrible dont il est difficile de quantifier tous les dégâts, et des faillites générées.
C’est bien simple, le confinement de Fauci généralisé dans le monde entier a pulvérisé la classe moyenne américaine (mais pas seulement américaine). En 2020, les travailleurs américains ont perdu 3,7 milliards de dollars, les milliardaires en ont gagné 3,9. Adieu le rêve américain, 8 millions de personnes tombent dans la pauvreté alors que, selon Forbes, on a vu 493 personnes rejoindre d’un coup le club des milliardaires.
Jamais les riches n’ont été aussi riches, et les pauvres si pauvres. C’est la première fois qu’on assiste à un tel transfert de richesses vers le haut. Et ce qui est vrai pour les USA se vérifie en France, 1 million de Français basculent dans la pauvreté alors que les milliardaires français réalisent une plus-value indécente de 40 %. Dans le reste du monde, ce n’est pas mieux puisque le confinement a dévasté la vie de près de 100 millions de personnes condamnées à l’extrême pauvreté (en dessous de 1,90 $/jour).
Mais on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, pas vrai ? La fortune de Jeff Bezos a fait un bond de 86 milliards, celle de Bill Gates de 22 milliards, Marc Zuckerberg empoche 35 milliards, Sergey Brin de Google 41 milliards. Sans oublier le patron de Twitter, qui voit sa fortune augmenter de +298 %. Ça valait quand même le coup de nous enfermer, nous les gueux. Champagne !
Avec le recul, il est clair que le confinement de personnes en bonne santé dépasse l’entendement, d’ailleurs l’OMS le déconseillait déjà à l’époque. En effet, le 8 octobre 2020, le professeur David Nabarro, délégué Senior Covid-19, déclarait :
« À l’Organisation mondiale de la santé, nous ne préconisons pas le confinement comme moyen principal de lutte contre ce virus. Nous pourrions bien avoir un doublement de la pauvreté dans le monde d’ici l’année prochaine.
Il s’agit en fait d’une catastrophe mondiale terrible, épouvantable, et nous lançons donc un appel à tous les dirigeants du monde : cessez d’utiliser le confinement comme principal moyen de lutte… Les confinements ont une seule conséquence qu’il ne faut jamais minimiser : rendre les pauvres plus pauvres. »
Dommage, Anthony Fauci avait déjà tranché. Et pour légitimer son choix, il s’est basé sur des modèles mathématiques qui surévaluaient de 525 % le nombre de décès aux États-Unis. On doit ce chiffrage surréaliste à la tristement célèbre incompétence de Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres. Tu sais celui qui a bénéficié pour cela d’un financement de la fondation Bill et Melinda Gates de centaines de millions de dollars.
En résumé, le monde entier a subi une privation de liberté totalement arbitraire, mais ce n’est pas le seul choix discutable de notre cher Tony Fauci.
En ce qui concerne les distances sociales et les gestes barrières, les choix édictés reposaient sur des bases scientifiques discutables. En septembre 2021, le Dr Scott Gottlieb, ancien commissaire de la FDA a admis que la règle de la distance de « un mètre » était arbitraire et n’était pas fondée sur quoi que ce soit de scientifique. Je le cite :
« Le processus d’élaboration de ce choix politique est un parfait exemple du manque de rigueur dans la manière dont les CDC ont formulé leurs recommandations. »
Et pour les masques ? Pas mieux.
Avant le Covid, la littérature scientifique et les études fiables sur la pratique du port du masque étaient relativement limitées. C’est ce qu’on peut lire dans un article de l’INSERM :
« Les études scientifiques sur l’utilité du masque pour lutter contre les épidémies, en protégeant une population des virus respiratoires, restent encore peu nombreuses et s’appuient principalement sur des données observationnelles. »
Au départ, si on s’attarde sur la posture d’Anthony Fauci à propos des masques, il y a comme une sensation de déjà-vu… avec la pénurie de masques pour les soignants à l’époque, il admet avoir déconseillé le port du masque dans une interview face à Norah O’Donnell. On a connu sensiblement la même pirouette de la part de nos dirigeants.
Puis viendront les nombreuses études qui ont fleuri un peu partout dans le monde pour favoriser le port de ce fameux masque. Cela dit, avant que la doxa du monde médical aux ordres du tout puissant Empereur de la santé ne valide le grand récit, Fauci ne manque pas le 17 février 2020 de s’exprimer sur la futilité de masquer les personnes en bonne santé. Et il l’écrit dans une réponse par e-mail à Sylvia Burwell :
« Les masques sont vraiment destinés aux personnes infectées pour les empêcher de propager l’infection à des personnes qui ne sont pas infectées plutôt que de protéger les personnes non infectées contre l’infection.
Le masque typique que vous achetez en pharmacie n’est pas vraiment efficace pour empêcher le virus d’entrer, qui est suffisamment petit pour traverser le matériel. Il pourrait cependant offrir un léger avantage pour empêcher les grosses gouttelettes si quelqu’un tousse ou éternue sur vous. »
En mars 2020, Fauci persiste et signe, déclarant dans 60 minutes sur Fox News qu’il n’y a aucune raison de se promener avec un masque.
« Lorsque vous êtes au milieu d’une épidémie, le port d’un masque peut aider les gens à se sentir un peu mieux. »
Fauci a bien sûr changé d’avis en fonction du sens du vent, une fois que les recommandations des CDC ont insisté sur le port du masque. Il s’agit d’être cohérent avec le politiquement correct, tout de même. Si la pirouette intellectuelle peut se justifier en fonction de l’évolution de l’épidémie et de l’état des connaissances, on trouvera tous les deux drôlement marrant que, selon les données de ces mêmes CDC, 85 % des personnes ayant contracté le Covid-19 aux USA portaient un masque.
Et tandis que nos deux esprits se frôlent autour d’une question spontanée (jusqu’à quel point nous prendra-t-on pour des cons ?), je tire avec toi un petit bout de laine savoureux qui nous entraîne vers la notice publiée par l’OMS en juin 2020. Un mode d’emploi destiné aux décideurs concernant le port du masque et dont je te livre quelques extraits.
« De nombreux pays ont recommandé au grand public de se couvrir le visage, notamment par un masque en tissu. À l’heure actuelle, on ne dispose pas encore de données factuelles directes de qualité attestant de l’efficacité du port généralisé du masque par les personnes en bonne santé dans la communauté et il faut procéder à un bilan des avantages et des inconvénients à cet égard. »
« Dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants :
- Risque potentiellement accru d’autocontamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées ;
- Autocontamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes ;
- Maux de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé ;
- Lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque ;
- Difficulté de communiquer clairement ;
- Sensation possible d’inconfort ;
- Fausse impression de sécurité pouvant conduire à un respect moins scrupuleux des mesures préventives qui ont fait leurs preuves comme la distanciation physique et l’hygiène des mains ;
- Port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant ;
- Problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entraîner une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement ;
- Difficultés de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale ;
- Désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par les enfants, les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales, les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives, les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques, les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillofaciale, ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide. »
Mais mon préféré reste le dernier, et c’est écrit noir sur blanc en page 9 du document : « Les masques en tissu peuvent aussi offrir un moyen d’expression culturelle propre à favoriser l’acceptation des mesures de protection en général. »
Une part de moi voudrait trouver un moyen d’expression culturelle propre à illustrer ma phénoménale envie d’inviter tout ce petit monde à aller se faire voir… mais ma raison préfère continuer à dérouler le fil rouge.
Si tu veux bien, parlons maintenant de cette délicieuse particularité du Covid-19 :
les cas asymptomatiques.
Le 28 janvier 2020, devant les responsables du département HHS (Health and Human Service), Fauci avait un avis assez net sur le sujet :
« L’une des choses que les gens doivent historiquement comprendre, c’est que même s’il y a une certaine transmission asymptomatique, dans toute l’histoire des virus respiratoires, quels qu’ils soient, la transmission asymptomatique n’a jamais été le vecteur des épidémies. Même si une personne asymptomatique peut exceptionnellement transmettre le virus, une épidémie n’est pas alimentée par des porteurs asymptomatiques. »
D’ailleurs, une étude publiée dans Nature le 20 novembre 2020 menée sur 10 millions de Chinois à Wuhan suggère que la transmission par les individus asymptomatiques est très rare. Selon les chercheurs, je cite :
« Tous les cas positifs asymptomatiques, les cas repositifs et leurs contacts étroits ont été isolés pendant au moins 2 semaines jusqu’à ce que les résultats des tests d’acide nucléique soient négatifs. Aucun des cas positifs détectés ou leurs contacts étroits ne sont devenus symptomatiques ou nouvellement confirmés avec COVID-19 pendant la période d’isolement. Les taux positifs asymptomatiques étaient de 0,321/10 000 et 0,243/10 000. »
Encore une fois, le fact-checking va venir immédiatement mettre sous cloche toute envie de comploter ou d’effectuer un raccourci grossier. C’est vrai, il convient de nuancer, l’étude ne démontre pas que les asymptomatiques ne contaminent personne… en réalité, ils contaminent très peu.
Ceci étant exposé et maintenant que tu y vois plus clair à propos du « Monsieur Santé Étatsunien » qui nous a inventé cette folie sociale qui consiste à croire qu’un individu sain est une bombe virale à retardement, parlons maintenant de la stratégie très particulière d’Anthony Fauci pour lutter contre le Covid-19. Et tu peux me croire, quand on aligne tous les éléments bout à bout, on obtient une vue imprenable sur une intention réelle de nous nuire.
Étape 1 : Ne surtout pas parler du système immunitaire.
De mars à mai 2020, le grand Dr Anthony Fauci n’a pas une seule fois pris le temps d’avertir le peuple à propos du tabagisme et du vaping qui doublent les taux de mortalité du Covid. À moins qu’il ait su qu’au printemps 2020, des chercheurs chinois se sont très rapidement aperçus que le pourcentage de fumeurs de tabac dans les hôpitaux chinois, accueillant les patients supposément atteints par le Covid-19, était très faible – à savoir, environ 6 %. J’imagine qu’il était difficile d’éclairer la population ignare sur ce paradoxe, du coup, pas un mot à ce sujet. Pas plus qu’il n’a invité les gens à maintenir un bon taux de vitamine D. Quand on sait que près de 60 % des patients atteints de COVID-19 présentaient une carence en vitamine D lors de leur hospitalisation (l’étude met en avant un déficit surtout chez les hommes) et que cette fameuse carence multiplie par 3,7 les risques de mourir du COVID-19… on se pose vraiment des questions.
D’ailleurs, il ne leur a pas conseillé non plus de perdre du poids, alors que 78 % des Américains hospitalisés pour une infection au Covid étaient en surpoids ou obèses.
Je te passe les effets délétères du stress et de la peur sur le système immunitaire, et j’enchaîne avec l’étape suivante.
Étape 2 : « Restez chez vous ! »
Si on doit faire un grossier résumé, il s’agit d’une bien curieuse tactique contre l’épidémie : ne pas traiter les malades, leur demander de rester chez eux sans traitement précoce et attendre le stade critique nécessitant une hospitalisation. Ça ne te rappelle rien ?
Cette atteinte flagrante à la liberté de prescription est une première dans l’histoire de la médecine. Jamais le traitement précoce d’un patient, quelle que soit sa maladie, n’a été aussi ouvertement négligé à une si grande échelle. Inutile d’être un haut responsable de la santé pour comprendre qu’en laissant l’état des gens s’aggraver, il allait y avoir rapidement un sacré bouchon dans les services hospitaliers.
Il existait pourtant des tas de médicaments « repositionnés » (c’est-à-dire utilisés par les médecins dans un nouvel usage) capables d’enrayer la pandémie, ou au moins, de diminuer la charge virale et la transmission. Mais le Dr Fauci n’a pas daigné déclencher la moindre politique pour les identifier ou approfondir le sujet. Au contraire, il a préféré amorcer la cabale contre l’hydroxychloroquine puis l’ivermectine, dans le principal but de s’en mettre plein les poches, mais pas seulement – et on tirera le fil rouge sur la véritable raison de cette guerre contre ces vieux médicaments.
Étape 3 : Réduire au silence ceux qui cherchent et qui soignent.
Il me faudrait des heures pour te parler des travaux des Drs McCullough, Risch, Zelenko, ou encore du Dr Kory ainsi que Brownstein. Pour te la faire courte, ce sont tous des Didier Raoult en puissance : ils ont pris le risque d’essayer des trucs qui marchent avant de se faire défoncer bien comme il faut. Tu dois savoir qu’il y a des centaines de médecins indépendants ayant obtenu des résultats spectaculaires avec des molécules comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, mais aussi avec plein d’autres puisque les deux premières étaient devenues si politisées que personne ne voulait en autoriser l’administration.
D’ailleurs, c’est peut-être sur cette période critique que la guerre de l’information a fait le plus de dégâts et que les cellules de fact-checking ont fait feu de tout bois pour ouvrir une chasse aux sorcières inédite afin de marquer au fer rouge le moindre spécialiste qui oserait contredire le narratif officiel insufflé par Fauci et ses complices.
Le docteur McCullough a été l’un des premiers à mettre au point un protocole de traitement précoce et le 1er juillet 2020, son équipe le soumet à l’American Journal of Medicine. L’étude du Dr McCullough « Base physiopathologique et justification du traitement ambulatoire précoce de l’infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) » est devenue le document le plus téléchargé au monde en 2020 par les médecins dans le cadre du traitement du Covid-19. Dans son cabinet au nord de Dallas, le Dr Mc Cullough et son équipe ont administré ce protocole à 800 patients, avec une réduction de 85 % des hospitalisations. L’Association of American Physicians and Surgeons (AAPS) a même fait de l’article de McCullough son guide de traitement officiel.
Mais tu comprends, un remède qui marche, ça fait tache en pleine pandémie. Comment vendre les nouvelles molécules si de vieux trucs fonctionnent ? Oust, McCullough !
Cela dit, le Dr McCullough n’est pas le seul à avoir des pistes sérieuses et des résultats probants. Une méta-analyse prospective de 7 essais randomisés incluant 1 703 patients démontre que la mortalité toutes causes confondues à 28 jours était plus faible chez les patients ayant reçu des corticostéroïdes.
Une autre étude de l’Université d’Oxford démontre que le budésonide utilisé classiquement pour l’asthme réduit de 90 % le risque relatif de nécessiter des soins urgents ou une hospitalisation au cours de la période d’étude de 28 jours.
Je pourrais t’en citer des dizaines, même des centaines, mais je t’invite une nouvelle fois à te procurer le livre de Robert F. Kennedy Jr, c’est très instructif. Je vais plutôt embrayer sur le Dr Vladimir Zelenko qui obtient lui aussi des résultats spectaculaires avec un cocktail de zinc, hydroxychloroquine, azithromycine.
Le Dr Brownstein, quant à lui, n’utilisait que très rarement les molécules controversées. Et c’est peut-être là l’exemple le plus flagrant de la pression imposée par l’establishment médical et l’animosité du cartel pharmaceutique. En utilisant de la vitamine A, C, D et de l’iode, en administrant de l’ozone en intramusculaire, ainsi qu’en nébulisant les patients avec du peroxyde d’hydrogène… il a traité au total 715 patients, ce qui n’a donné lieu qu’à 10 hospitalisations et aucun décès.
En cours de route, il publie avec 7 collègues un article revu par les pairs intitulé « 85 COVID Patients at The Center for Holistic Medicine: Zero Hospitalizations and No Deaths » et partage son protocole. Cet article tu ne le trouveras pas, car la Federal Trade Commission (FTC) lui envoie aussitôt une lettre d’avertissement le sommant de le retirer. Puis l’Ordre des médecins lui tombe dessus juste après et le traine en justice.
12 médecins publient dans Medical Hypothese une étude montrant que les diverses combinaisons de médicaments réduisent drastiquement les décès en maison de retraite, les combinaisons les plus « modestes » obtenant une baisse de la mortalité de 60 %.
Pendant que des héros (les historiens les appelleront ainsi) tentaient de trouver des traitements précoces pour que les gens ne terminent pas à l’hosto, Fauci, joue sa carte joker. Ainsi, les hôpitaux américains ont reçu de Medicare (le pendant de la sécurité sociale) 39 000 $ pour chaque respirateur utilisé dans le cadre de patients étiquetés Covid-19 (contre 13 000 $ habituellement).
Notons que dans le même délire, en France, dans le cadre d’un « soutien financier pour faire face aux surcoûts qu’ils ont supportés » 475 millions ont été versés pou hôpitaux, ainsi qu’’une « prime covid » pour le personnel soignant. Nous n’avons pas eu le cynisme de conditionner cet argent à un quota, mais le plus souvent à des jeux politiques.
Mais restons aux « states », je peux continuer à te donner des exemples encore longtemps, mais tu as déjà compris que ce fil de laine nous mène toujours à la volonté farouche d’Anthony Fauci de refuser les traitements précoces, de museler le bon sens pour intensifier la pandémie.
Et pour y parvenir, il met tout en œuvre afin de mettre hors circuit l’hydroxychloroquine (10 $). Comme ça notre Fauci peut donner toutes ses chances au remdesivir (3 000 $) dont Bill Gates détient un joli portefeuille d’actions. C’est la prochaine étape.
Étape 4 : S’arranger pour qu’aucun traitement n’existe officiellement.
Pour que la FDA délivre une Autorisation d’Utilisation d’Urgence d’un nouveau médicament (ou vaccin), figure-toi qu’il ne doit pas y avoir d’alternative adéquate, approuvée et disponible existante. Ce qui bloquerait la procédure accélérée, le Remdesivir (comme les vaccins) devrait alors subir le circuit de validation classique étalé sur plusieurs années en passant par les procédures de test de sécurité notamment.
Donc Fauci et Big Pharma partent en guerre contre l’hydroxychloroquine. Pendant que ton cerveau rassemble nos fils rouges sur les usines qui explosent étrangement, les Sherman pendus devant leur piscine et toutes les disparitions bizarres, je tire un peu de laine pour te dévoiler la destruction en septembre 2020, de 2,5 tonnes d’hydroxychloroquine en Afrique du Sud en raison d’une « importation illégale ». Ça fait environ 20 millions de cachetons à la poubelle. Je dis ça, je dis rien. Destruction également en 2021, dans l’Utah, de 500 kg de ce même médicament qui n’aurait pas été importé dans les règles de l’art.
Faire disparaître les stocks de ce médicament n’est pas aussi dévastateur que d’entamer la valse des études frauduleuses sur l’hydroxychloroquine. Une farandole de mensonges accompagnée de censure.
Pour la censure, on a déjà tiré le fil des mécanismes de corruption ruisselante et de l’organisation frappante avec laquelle la Big Tech s’est coordonnée aux ordres de l’OMS. Tu te souviens de la belle petite réunion de Menlo Parc avec Andrew Pattison. Mais je t’ai gardé une poire pour la soif, car Alphabet, la société mère de Google possède plusieurs entreprises dans l’industrie vaccinale, dont Verily et Vaccitech. Cette dernière mise sur les vaccins contre la grippe, le cancer de la prostate, mais aussi contre le Covid. Verily est également propriétaire d’une société de tests Covid, notamment très engagée avec son programme « Baseline » (note à moi-même : à une lettre près on évite le programme Vaseline, mais je m’égare). Du coup tu comprends mieux pourquoi Google lifte totalement ses résultats de recherche dès qu’on aborde les sujets qui fâchent.
Venons-en à la campagne de dénigrement. C’est un tour de force, un miracle de corruption et d’influence. Je te fais le topo : il est difficile de pourrir la réputation d’une molécule pour laquelle on a au moins 65 ans de recul et qui est considérée comme « médicament essentiel » par l’OMS (pages 101 et 148 de son guide). Un médicament pris régulièrement par des millions d’Africains pour la prévention du paludisme (moins dans la dernière décennie, je l’avoue), c’est aussi le premier médicament utilisé en Inde (1,3 milliard d’habitants). Aucun rapport avec le fait que ces pays soient bien moins touchés que nous par le Covid-19. Non aucun, je te dis ! Il faut croire Fauci !
Et quand on parle de dénigrement, on ne peut pas s’empêcher de penser au Pr Raoult qui s’est fait littéralement lyncher par des experts de plateaux et des journalistes serviles n’ayant jamais ouvert un livre de médecine. Ses 2 700 articles publiés dans la littérature scientifique et sa carrière de portée mondiale ont été balayés avec une violence inouïe suite à son rapport préliminaire du 17 mars 2020. Atomisées également, les études des Drs McCullough, Zelenko, Risch et tant d’autres. D’après toi, quelle est l’arme absolue pour contrer l’éminent Didier Raoult et ces médecins ayant observé des preuves sur le terrain ?
La réponse est le recours à des essais cliniques (Solidarity, REMAP et Recovery) ainsi que des études financés par Fauci et Gates via l’OMS. À commencer par 17 études basées sur des protocoles absurdes pour démontrer la dangerosité et l’inefficacité du médicament miracle.
Comment ils s’y sont pris ? En employant des doses qui frôlent la létalité, si possible à un stade avancé de la maladie, c’est-à-dire le plus tard possible, alors que les vilains défenseurs de la chloroquine martelaient depuis le début qu’il s’agissait d’un traitement ambulatoire précoce. Non content de faire des essais sur des patients sous respirateurs et proches de la mort, les doses utilisées dans l’essai Solidarity étaient 4 fois plus élevées que ce qui avait été préconisé par nos toubibs héroïques et piétinés selon l’honorable Meryl Nass.
Dans les essais financés par le Wellcome Trust et la Fondation Bill et Melinda Gates, le protocole publié officiellement (page supprimée, mais retrouvée sur la wayback machine par ton serviteur) indique clairement un problème de dosage allant jusqu’à 2,4 gr dans les premières 24 heures. Il y a même eu un #recoverygates, mais on a étouffé l’affaire et c’est passé comme une lettre à la poste. On a juste déclaré que la molécule était mortellement dangereuse. Oui, je peux t’entendre penser, c’est un scandale, tu as le droit d’insulter nos responsables, ils l’ont bien mérité.
Mais ta colère va trouver un nouveau souffle avec cette savoureuse révélation, que dis-je, avec cette perle ! Et je te prie de t’accrocher à notre fil rouge pour ne pas vaciller. Parce qu’il s’agit du LancetGate et du torchon publié sur le New England Journal of Medicine (NEJM).
The Lancet et le NEJM sont deux journaux scientifiques réputés qui ont publié la fameuse étude qui a définitivement tué l’hydroxychloroquine aux yeux du monde. Une étude validée en quelques heures et qui s’appuie sur les données collectées par une société inconnue au bataillon : Surgisphere Corporation.
L’étude prétend bénéficier d’une base de données de 90 000 patients sur 600 hôpitaux à travers le monde. Et cette étude, tu t’en doutes, démonte l’hydroxychloroquine en beauté.
Le hic, tu vois, c’est que Surgisphere, dirigée par Sapan Desai (l’auteur de l’étude), compte 11 employés, dont un écrivain en science-fiction. Le « science editor » de la boîte n’a jamais fait d’étude scientifique ni publié le moindre article scientifique. Mais le plus beau, c’est que la directrice du marketing n’est autre qu’Ariane Anderson, une ancienne hôtesse/escorte de Las Vegas et une actrice porno bien connue. Oui, tu lis bien, une pornstar. Même dans mes histoires, je n’ai jamais eu autant d’imagination…
Et c’est sur cette étude (si pathétique que le Lancet l’a retirée très rapidement) que le sort de la chloroquine s’est retrouvé scellé. Mais qu’importe, le mal est fait. Fauci plante le dernier clou dans le cercueil de la chloroquine (Véran lui emboite le pas), les médias corrompus passent sous silence un des plus gros scandales du monde scientifique.
Mais ce n’est pas la seule molécule à devenir tout à coup dangereuse et inefficace.
L’ivermectine va subir le même sort sous la puissance de feu de Gates par l’intermédiaire du Dr Andrew Hill (de l’université de Liverpool) via les 49 millions de dollars qu’il a perçus de la fondation Bill et Melinda Gates. Avec autant de blé, autant te dire que le Dr Hill s’en est donné à cœur joie avant de devoir avouer son conflit d’intérêts lors d’une réunion Zoom qui passera à la postérité :
« J’ai ce rôle où je suis censé produire ce document et nous sommes dans un équilibre très difficile et délicat. »
Dans le même temps, le géant de BigPharma, Merck, va également tuer son bébé en découvrant subitement des « problèmes de sécurité » sur l’ivrmectine. Un revirement pour le moins étrange alors que le labo en enstribuait des milliards de doses, par exemple 900 millions rien qu’en Afrique, sans aucun problème. Cela dit, dix jours avant de retourner sa veste, le labo signe un partenariat pour produire un vaccin covid avec Novavax. Je dis ça, je dis rien.
Mais toute crise est aussi une opportunité dans les yeux des labos bienfaiteurs de l’humanité. En 1996 les droits exclusifs de Merck sur le brevet de l’ivermectine sautent, ce qui fait chuter fortement la rentabilité de sa production (jusqu’à 0,40 $/dose chez les fabricants concurrents). D’autant que l’ivermectine concurrence à présent une pilule magique que concocte Merck pour enrichir son catalogue : le molnupiravir.
Un médicament aux origines plus que louches, et au fonctionnement très proche de l’ivermectine, mais qui a l’avantage d’être plus rentable. 700 $ la dose, c’est pas dégueulasse, tu vois. Il suffit juste de bannir l’ivermectine et le tour est joué.
Alors que l’autre géant Pfizer est à deux doigts de sortir sa pilule miracle, une contrefaçon si manifeste de l’ivermectine que tout le monde l’appelle la Pfizermectine… Bill Gates jette son dévolu sur Merck puis commande pour 120 millions $ cette pilule magique anticovid, nous sommes sauvés. Ou pas puisqu’on évalue son efficacité à 30 % une fois le tour de passe-passe terminé.
Étape 5 : Se faire un max d’argent sur un nouveau médicament foireux.
Après avoir écarté tout ce qui pouvait soigner et sauver des vies, après avoir magouillé pour amasser un max de fric sur des pilules magiques tout en nous enfonçant dans une fausse impasse, le couple Fauci-Gates a donc tout le champ libre pour prolonger la plandémie et introniser le remdesivir, puis la solution finale.
Et comment faire pour créer un sentiment d’urgence ? Rien de mieux que de maintenir un nombre élevé de morts. En étiquetant des morts covid qui ne le sont pas, les compteurs s’affolent, par erreur le CDC compte 72 000 décès covid en trop. On peut maintenir ainsi la confusion, car mourir avec le covid est très différent de mourir du covid. Une différence énorme. Reste à organiser l’évidence la plus lucrative qui soit : le remdesivir va nous sauver.
À propos du remdesivir, Robert F. Kennedy Jr nous rapporte que les infirmières américaines ont un jeu de mot qui résume assez bien le produit, « Run Death is Near » (Rem Des ivir). Ça t’en dit long sur la dangerosité du produit. Pourtant, Fauci a usé de toute son influence dans l’administration américaine pour écarter les substances pouvant concurrencer son produit fétiche. Un poison à 3 100 $ signé Gilead, un labo qui défiscalise dans le Delaware (jamais de miracle, tu le sais) dans lequel la Fondation Bill et Melinda Gates détient une participation de 6,5 millions $.
À ce stade de notre pelote, te dire que les gros actionnaires de Gilead sont BlackRock et Vanguard devient une évidence… Tout comme il est évident qu’entre ce labo et la fondation Gates, c’est une collaboration de longue date avec les programmes de Billou en Afrique, par exemple.
Aussi rien d’étonnant à ce que le 24 avril 2020, notre Bill déclare haut et fort « Pour le nouveau coronavirus, le principal médicament candidat dans cette catégorie est le remdesivir de Gilead ».
Et tout le monde applaudit. Ce chapitre étant particulièrement long, je te passe le détail sur la manière dont Anthony Fauci a pesé sur les études, fait pression, nié, maquillé les résultats désastreux du remdesivir, jusqu’à faire le forcing en direct à la TV en exagérant les effets positifs de cette énorme pompe à cash qui n’a pas une once d’efficacité en réalité. La Commission européenne en commande 500 000 doses et finalement, le 20 novembre 2020 l’OMS confirme :
« Sur la base de plusieurs études, que le remdesivir n’est pas conseillé pour les patients hospitalisés pour le Covid-19, quel que soit le degré de gravité de leur maladie, car il n’y a actuellement pas de preuve qu’il améliore la survie ni qu’il permette d’éviter d’être placé sous ventilation artificielle. »
Car le remdesivir flingue les reins. Non seulement, il ne soigne pas du Covid, mais il tue des patients.
C’est trop triste, heureusement que les gouvernements des puissances économiques en ont commandé avant, tout le monde a pu se gaver mine de rien… Enfin, il nous reste une bonne nouvelle : les USA nous l’assurent, on ne sortira de la crise qu’avec les vaccins. Mais avant de dérouler ce nouveau fil ô combien épineux, je termine de tirer la laine rouge concernant la gestion de crise pour t’apporter un peu de légèreté et de bonne humeur. Comment ? En dénouant le minuscule nœud de la politique sanitaire menée par nos gouvernants français si compétents. Prends de quoi grignoter, on va se marrer.
[1] Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique – aux éditions résurgence.
Merci de continuer à me lire, si mon univers te plaît, si tu penses qu’il est utile de tirer sur le fil rouge, tu as la possibilité de m’offrir une tasse de thé, un peu de karma et beaucoup de réconfort en effectuant un petit don. 🍵😘🙏
J’aurai surement fini avant de recevoir la version papier mais c’est pas grave je pourrai comme ça le relire tranquillement afin de mieux intégrer les informations… et le prêter … ou le conseiller !
Je fais aussi vite que possible, mais nous sommes nombreux à tirer sur le fil rouge au format broché !