
Chapitre 5 Lazar oussant la porte du complexe sportif, j’abandonne le navire de béton gris aux lignes soviétiques pour rejoindre le parking dans un froid tranchant. Je n’arrive pas à croire qu’on me colle l’étiquette du pestiféré après le parcours que j’ai connu. Sur le bitume fendu, entre verglas et flaques d’eau, j’envoie un texto à Dimitri, histoire de prévenir mon meilleur pote de cette...